Day: January 17, 2025

Le gouvernement provincial de Lomami à travers le vice-gouverneur, Célestin Kayembe Tshianjitshibola, a procédé mardi 14 janvier 2025 au lancement de la campagne agricole saison B pour l’année en cours, à Kamende, chef-lieu du territoire de Kabinda (Lomami).
Cette campagne, qui a pour objectif d’assurer la sécurité alimentaire des ménages en province, a été lancée en présence du ministre chargé de l’Agriculture, Doris Kayoka, de l’administrateur de territoire et des autres couches politiques et sociales venues assister à la cérémonie.
Il a aussi procédé à la distribution de tracteurs, d’engrais, d’outils aratoires et d’autres équipements aux 26 provinces de la RDC.
Par la suite, il a exhorté les inspecteurs agronomes de la division provinciale de l’agriculture à veiller à une distribution équitable et à effectuer un suivi constant afin d’atteindre les objectifs fixés.
Il convient de signaler que cette initiative inclut exclusivement la distribution d’intrants agricoles, qui sont des ressources essentielles pour augmenter la quantité des produits agricoles dans tous les ménages.

Le bilan de la récente attaque des rebelles d’Allied democratic forces (ADF) dans le territoire de Lubero (Nord-Kivu) s’est alourdi.
Il est passé d’une dizaine de morts à près de 40 civils tués.
C’est après la découverte d’autres corps dans plusieurs villages se trouvant près de Muhangi, le jeudi 16 janvier 2025.
“La situation est très critique dans la chefferie de Baswagha.
Loin de là, à Makoko, nous avons compté 8 morts, notamment à Vusayi et Vukulukwe dans le groupement Bulengya.

Le vice-premier ministre de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires coutumières, Jacquemain Shabani, a annoncé dans un communiqué publié le jeudi 16 janvier 2025, la clôture des enquêtes pré-juridictionnelles relatives aux actes de vandalisme survenus le 18 novembre dernier au Mausolée du héros national Patrice Emery Lumumba, situé à l’échangeur de Limete.
Il a rassuré le public que toutes les mesures nécessaires sont désormais mises en place pour sécuriser et embellir ce lieu de mémoire emblématique, afin de préserver l’héritage de Lumumba.
Il a également souligné que rien ne saurait entraver le bon déroulement des activités commémoratives prévues pour célébrer le 64ᵉ anniversaire de l’assassinat de Patrice Emery Lumumba”Le gouvernement invite la population congolaise à observer une pensée pieuse en hommage au combat et à l’héritage du héros national Patrice Emery Lumumba”, a déclaré Jacquemain Shabani.
Lors d’une séance de travail tenue le 20 novembre 2024 avec la ministre de la Culture, des Arts et du Patrimoine, Yolande Elebe, ainsi que des responsables des services de sécurité, J. Shabani avait été annoncé l’interpellation de six individus suspectés d’être impliqués dans ces actes de vandalisme.
De plus, il avait signifié que deux autres personnes sont recherchées par les autorités.

« Les anciens premiers ministres soutiennent l’initiative du chef de l’État sur la mise en place d’une commission multidisciplinaire qui sera chargée d’évaluer et d’analyser l’actuelle constitution.
Sur le plan économique, les anciens chefs du gouvernement déplorent la détérioration de la situation des populations, en particulier celle des fonctionnaires de l’Etat.
« Les anciens premiers ministres constatent la dégradation de la situation socio-économique dans le chef nos populations de manière générale, et des fonctionnaires de l’État en particulier », ont-ils déclaré.
Cependant, ils notent une amélioration de la gouvernance publique, attribuée à la collaboration avec le FMI et la Banque mondiale.
Les anciens premiers ministres Lunda Bululu, qui serait malade, ainsi que Matata Ponyo et Bruno Tshibala, actuellement actifs dans l’opposition, n’ont pas participé à cette rencontre.

2025-01-172025-01-172025-01-172025-01-17Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/13-19/des_kulunas_aux_arrets_17_janv_2025.jpgLes autorités ont choisi l’application de la peine de mort pour lutter contre la montée du banditisme urbain causé par des jeunes appelés « Kuluna ».
Faut-il exécuter la peine de mort prononcée par la justice congolaise contre la centaine de jeunes délinquants appelés localement « Kuluna » ?
Ces condamnations à la peine capitale interviennent alors le gouvernement congolais a levé en mars dernier le moratoire sur l’exécution de la peine de mort, en vigueur depuis 2003.
La Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) qui avait marqué son opposition au recours à la peine de mort, maintiennent sa position.
Et de rappeler : « L’article 16 de la constitution prône la sacralité de la vie humaine et oblige l’État de la respecter et de la protéger.