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2024-12-042024-12-042024-12-042024-12-04Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/kinshasa_parlement_panafricain_consulte_opposition_majorite_et_eglise_catholique_04_dec_2024.jpgDébut ce mercredi 04 décembre 2024, des consultations de la mission d’information du Parlement panafricain (PAP), avec la classe politique et sociale civile sur l’agression rwandaise dans les provinces du Nord-Kivu et Sud-Kivu.
Cette mission va démarrer ces échanges avec l’opposition qui sera représentée par Christian Mwando, d’Ensemble pour la République de Moïse Katumbi, ensuite la majorité parlementaire qui a délégué André Mbata et l’église catholique avec le cardinal Fridolin Ambongo.
Au cours de ces échanges, nous avons balayé cet alibi, d’autant plus que la RDC n’a aucun intérêt sur le sol rwandais, tout en insistant sur le fait que la RDC avait le choix entre faire la guerre et opter pour la voix diplomatique.
Le pays de Félix Tshisekedi a opté pour la diplomatie.
Après les échanges avec led élus nationaux et les sénateurs, ladite mission du Parlement panafricain va se rendre à Goma, afin de poursuivre ses consultations avec les communautés locales.

La bonne relation entre la population et la police dans la ville de Bunia produit des effets escomptés, notamment la baisse de la criminalité au chef-lieu de la province de l’Ituri.
Des dizaines de jeunes des quartiers Ngezi et Lumumba ont bouclé jeudi la série d’échanges sur la collaboration entre la police et la population.
Les participants ont noté une légère amélioration des rapports entre les jeunes et la police.
Ainsi, la confiance de la population vis- à-vis de la police permet de dénicher certains bandits armés, indique le commissaire de la police.
Plusieurs mécanismes sont mis en place, notamment le forum des quartiers en vue de renforcer la collaboration entre la police et la population pour la sécurité de la ville.

En RDC, les prisons débordent et les solutions semblent s’opposer : faut-il construire de nouvelles infrastructures ou réformer la gestion judiciaire ?
Lors des libérations des détenus, de nombreuses personnes ont quitté la prison avec des maladies ou des infirmités développées à la suite de ces conditions.
Il estime d’ailleurs que les différentes détentions préventives que les magistrats opèrent fréquemment sont à la base de la surpopulation pénitentiaire.
Pour le ministre, les détentions préventives massives annihilent ses efforts visant à désengorger les prisons en RDC.
Or, le ministre de la Justice reste formel : peu importe la manière dont la détention est opérée.