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Kinshasa, 6 janvier 2025 (ACP).- Le projet «l’école numérique de Ngaba» qui vise à faciliter l’intégration des enfants aux nouvelles technologies (NTIC) a été présenté lundi dans le cadre de la 46ème édition de la Foire internationale du Congo Kinshasa, en République démocratique du Congo.
«Notre structure, c’est le Festival multiculture de Kinshasa (FMK).
Nous présentons le projet l’école numérique de Ngaba qui vise à faciliter l’intégration des enfants, notamment des enfants désœuvrés et vivant avec handicap aux nouvelles technologies, pour leur montrer les fonctionnalités de l’internet et de l’ordinateur», a déclaré Bona Kabamba, responsable de FMK.
Il a fait savoir que ce projet numérique a pour objectif de faciliter l´accès aux jeunes dans le domaine numérique, à travers l’intelligence artificielle (IA) qui constitue sa branche la plus importante.
Selon lui, le thème de la 46ème édition foraine les concerne parce qu’il implique les recherches, et à travers leur projet, ils forment et initient les personnes à l’intelligence artificielle, mais aussi donnent aux gens la possibilité et la capacité d´acquérir des connaissances par rapport aux avancées des nouvelles technologies.

Pour la Directrice adjointe du programme Afrique de l’Est et Afrique australe d’Amnesty International, l’annonce de ces transferts de prison est absolument consternante.
Elle dit craindre des exécutions massives imminentes de la part des autorités en raison du manque d’informations fiables sur le statut des personnes condamnées à mort.
« Le président Félix Tshisekedi doit immédiatement, publiquement et sans ambiguïté, mettre un terme à tout projet d’exécution de personnes dans la prison d’Angenga ou ailleurs.
Le Parlement devrait adopter un moratoire sur les exécutions, en attendant l’abolition totale de la peine de mort » déclare-t-elle.
Amnisty International appelle également les autorités congolaises à mettre un terme aux transferts massifs vers des prisons éloignées, notamment celle d’Angenga, où des dizaines de détenus sont déjà morts de faim et de maladies, indique le communiqué.

Cette séance plénière se tient dans le cadre de la mission régalienne dévolue au Sénat, celle de contrôle parlementaire, rappelle-t-on.
Par conséquent, le Sénat vote le projet de Loi portant prorogation de l’état de siège sur une partie du territoire national », a déclaré Jean-Michel Sama, président de la Chambre haute du Parlement.
Comme à l’Assemblée nationale, l’économie de ce texte de loi a été donnée par le ministre d’État, ministre de la Justice et garde des sceaux, Constant Mutamba.
Cette commission va continuer l’audition des membres du gouvernement ayant les secteurs concernés dans leurs attributions.
L’article premier porte sur l’autorisation pour une durée de quinze jours prenant cours le 07 décembre 2024, le deuxième annule les dispositions antérieures et le troisième article traite de l’entrée en vigueur.