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Arrêt sur images
Maroc : décès du célèbre catcheur, natif de Matete à Kinshasa, Edingwe Moto Na Ngenge. Il avait été évacué d’urgence par le gouvernement après la dégradation inquiétante de son état de santé !
Author(s): mediacongo.net
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Selon Fayulu, l’urgence est de sauver le pays du projet de balkanisation qui se dessine à travers cette guerre d’agression rwandaise.
Toutefois, il déplore l’absence du président de la République dans le pays alors que la situation sécuritaire dans l’Est est alarmante.
« L’armée congolaise et le gouverneur du Sud-Kivu confirment la prise de Minova par le M-23.
On parle de “trahison au sein des Fardc”, de “repli stratégique”, et on demande à la population de “ne pas paniquer”.
« N’est-ce pas là une complicité des usurpateurs dans le projet de balkanisation du Congo ?
La grande famille du Mwami Kahembe-Kabugunda Paul, une figure emblématique de la chefferie de Nyiragongo, a dénoncé une tentative d’usurpation de pouvoir et de déstabilisation de la chefferie de Bukumu, le jeudi 26 décembre 2024.
“Nous appelons les forces de l’ordre à redoubler de vigilance et à prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger les institutions coutumières et assurer la paix dans notre chefferie.
Nous ne pouvons pas tolérer que des individus mal intentionnés viennent troubler l’ordre établi et mettre en danger la cohésion sociale”, a déclaré un porte-parole de la famille.
Une partie du territoire de Nyiragongo est occupée par les terroristes du M23-RDF à partir de Kibumba à 23 kilomètres au nord de la ville de Goma.
Plusieurs habitants de Kibumba ont fui vers Munigi au sud du territoire de Nyiragongo, craignant pour leur sécurité.
L’organisation appelle le M23 à un retrait immédiat et exhorte le Rwanda à cesser toute coopération avec ce groupe armé, tout en demandant le retrait de ses forces militaires du territoire congolais.
Elle appelle également la RDC à mettre fin à toute collaboration avec les FDLR et autres groupes armés.
Le territoire de Masisi traverse actuellement une crise humanitaire grave, exacerbée par les combats et les déplacements massifs de populations fuyant les violences.
Selon des témoignages sur place, les habitants vivent dans des conditions extrêmement précaires, souvent exposés aux exactions des rebelles du M23.
Des appels pressants sont lancés au gouvernement congolais et à la communauté internationale pour renforcer la réponse humanitaire et restaurer l’autorité de l’État dans les zones affectées.