L’ONG BEAD dénonce le mauvais usage des produits chimiques dans l’agriculture maraichère à Irumu

Au moins 77 % des ménages de la province du Maniema sont en insécurité alimentaire.
C’est ce que révèle le rapport de l’analyse de la réponse des résultats de l’évaluation approfondie de la sécurité alimentaire en situation d’urgence, couplée aux indicateurs de la nutrition (FSA 2024).
Cette enquête a été menée dans cette province en août 2024, en collaboration avec l’Institut national de la statistique (INS) avec le financement du Programme alimentaire mondial (PAM).
Pour Michel Mukombelwa, directeur provincial de l’INS/Maniema, les causes de cette insécurité alimentaire sont notamment l’inaccessibilité des routes, la hausse des prix des denrées alimentaires et les catastrophes naturelles.
Vous pouvez l’écouter dans cet extrait :/sites/default/files/2024-12/06.2912024-p-f-kindusecuritealimentairealarmante00.mp3

2024-12-232024-12-232024-12-232024-12-23Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/23-29/etats_generaux_de_udps_augustin_kabuya_22_dec_2024.jpgLe Secrétaire général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), Augustin Kabuya, a ouvert les travaux des États généraux des fédérations de son parti en évoquant la possibilité d’une modification de la Constitution en République démocratique du Congo.
Dans son discours, il a souligné les limites de l’actuelle Constitution, qu’il considère comme un obstacle à l’effectivité des pouvoirs du Chef de l’État.
Pour le chef du parti présidentiel, cette situation limite l’efficacité de l’action présidentielle.
Si certains observateurs y voient une tentative de renforcer les pouvoirs du Président de la République, d’autres y perçoivent une manœuvre politique à l’approche des échéances électorales.
Ces États généraux des fédérations de l’UDPS, qui réunissent des cadres et militants du parti à travers le pays, s’annoncent donc comme une étape clé dans la redéfinition des priorités du parti présidentiel et de sa vision pour le futur institutionnel de la RDC.

« Le moment venu, le dernier mot reviendra à notre peuple.
Changement de la Constitution : Vous êtes un grand peuple, vous savez ce qui est bien pour vous et ce qui n’est pas bien », a-t-il déclaré.
Parlant de la sécurité du pays, le chef de l’État a insisté sur le fait que les dispositions sont prises pour sécuriser le pays mais aussi les provinces.
« Nous avons beaucoup d’ennemis qui sont, pour certains, dans les pays voisins et qui ont trouvé des complices à l’intérieur de notre pays pour déstabiliser la RDC.
Et parmi les provinces les plus visées, nous avons le Grand Katanga et particulièrement le Tanganyika.