Day: January 14, 2025

Les activités ont repris lundi 13 janvier à Biakato-centre, dans le territoire de Mambasa (Ituri) après, trois jours de ville morte décrétée la semaine dernière par les structures de la société civile locale.
Mais les organisateurs de ces journées ville morte disent n’avoir pas été entendus par les autorités.
Le lundi 13 janvier matin, les rues de Biakato-centre ont été envahies par des milliers d’élèves en uniformes qui ont repris le chemin de l’école.
Il y a quatre jours, ce grand centre commercial ressemblait à une ville fantôme à la suite de trois journées ville décrétées par les organisations de la société civile locale.
Au terme d’une rencontre d’évaluation le même lundi à Biakato-centre, les organisateurs disent avoir constaté avec regret, que leurs revendications n’ont pas été prises en compte par les autorités.

Dans un discours en ouverture de la conférence des ambassadeurs, le 6 janvier 2025 à Paris, Emmanuel Macron avait affirmé que « la France n’est pas en recul en Afrique », en dépit des pays qui ont exigé le départ des troupes françaises basées sur leur sol.
Lundi 13 janvier 2025, c’est au tour du Burkina Faso de réagir à ces propos.
Au Sahel, le Burkina Faso et le Niger ont obtenu, en 2023, le départ des forces françaises de leur sol.
Le Tchad et le Sénégal ont également pris des mesures : Ndjamena a exigé le départ d’ici fin janvier des troupes françaises, et Dakar a demandé la fermeture des bases françaises et la fin de toute présence militaire étrangère.
Si on ne dénonce pas les accords, juste dire qu’ils quittent les bases (militaires), on n’a rien fait.

Kinshasa, 14 janvier 2025(ACP).-Une visite d’itinérance à la maison du premier président congolais, Joseph Kasa-Vubu, qualifiée de lieu chargé d’histoire et de mémoire, au quartier Kikuku, à Boma, dans la province du Kongo Central, dans l’ouest de la République démocratique du Congo, a été effectuée par la ministre de la Culture, Arts et Patrimoine, Yolande Elebe, selon un communiqué reçu lundi à l’ACP.
« La maison du premier président de la RDC, Joseph Kasa-Vubu, est un lieu chargé d’histoire et de mémoire, faisant partie du patrimoine national, qui témoigne d’une époque marquante de l’histoire de la RDC », a-t-on lu dans le communiqué du Ministère de la Culture, Arts et Patrimoine.
Cette descente de la ministre de la Culture, Arts et Patrimoine s’est inscrite dans le cadre des itinérances consacrées à la préservation et à la valorisation du patrimoine historique et culturel.
«Cette maison rappelle l’importance de protéger les lieux symboliques pour transmettre notre héritage aux générations futures», a souligné le communiqué.
Offerte à son épouse, la maison a été le dernier domicile du président Kasa-Vubu, qui y a rendu l’âme, rappelle-t-on.

Au cours d’une émission diffusée dans les ondes de la radio Okapi, Patrick Muyaya a révélé les stratégies de Paul Kagame, et qualifie le Rwanda d’empire du mensonge.
“Une nouvelle fois, comme devenu coutume, le Rwanda a été attrapé la main dans le sac par le groupe des experts des Nations Unies.
Et Patrick Muyaya de poursuivre : “Après avoir nié jusqu’à l’infini, le Rwanda trouve refuge dans la désinformation qu’il a industrialisée en renfort des centaines de faux comptes.
Les experts accusent les autorités rwandaises d’avoir “violé l’intégrité et la souveraineté de la RDC” et les jugent “responsables des actions du M23” de par le soutien qu’elles apportent à leur “conquête territoriale”.
Depuis fin 2021, le M23 et des troupes de l’Armée rwandaise progressent dans les provinces de l’Utiri et du Nord-Kivu, où ils ont mis en déroute l’Armée congolaise et ses alliés, et installé une administration parallèle dans les zones sous leur contrôle.

2025-01-142025-01-142025-01-142025-01-14Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/13-19/route_rn17_a_bandundu_25.pngAfin de booster le développement du Grand Bandundu et diminuer l’insécurité provoquée par le phénomène Mobondo, l’asphaltage rapide de la Route nationale numéro 17 utilisée par les ressortissants du Kwilu, Kwango, Maï-Ndombe et même de Kinshasa est vivement souhaité.
“Les études de faisabilité pour l’asphaltage de cette route ont été stoppées à cause de l’insécurité.
Nous demandons au gouvernement central de s’impliquer pour que ces travaux d’asphaltage aillent bon train.
C’est une nécessité pour ce coin du pays”, a déclaré José Mungolo, un des cadres de la société civile de la province du Kwango.
De son côté Ermane Mutima, sénateur élu de Maï-Ndombe qui est en vacances parlementaires, a réuni le weekend dernier plusieurs chefs coutumiers afin de s’impliquer pour que la paix revienne dans ce coin du pays.