Commerce extérieur: une tonne de cuivre passe de 8.786,65 à 8.802,35 USD

L’hôpital général de Kwamouth, situé dans la cité de Kwamouth, (Bandundu), a reçu samedi 21 décembre, du Programme de développement du système de santé, (PDSS), un lot de médicaments d’une valeur 75.000 dollars américains.
Ces produits sont destinés au traitement des victimes et déplacés de la milice Mobondo, notamment des blessés par balle, des personnes brulées, autres malades.
Le gouverneur de province Lebon Nkoso Kevani dit avoir mené le plaidoyer auprès de ce partenaire afin de soulager ces personnes blessées et brulées qui manquent de tout et qui sont dans l’impossibilité de se faire soigner.
Il y a quelques semaines, des miliciens Mobondo avaient pris en otage trente personnes, ils les avaient enfermées dans une case et y avaient mis le feu, explique l’autorité provinciale.
Parce qu’il y avait un souci, il manquait des médicaments pour pouvoir traiter les personnes brulées, mais maintenant, ces personnes seront soignées ».

En définitive, vingt-deux personnes sont mortes et inhumées après le naufrage mardi sur le lac Maï Ndombe au village Isongo, dans le territoire d’Inongo.
Plusieurs dizaines de blessés et des malades sont enregistrés, des personnes qui sont reçues à l’hôpital général de référence d’Inongo pour des soins de santé.
Le gouverneur de province qui livre ce bilan définitif dit avoir donné des moyens pour la prise en charge des blessés et malades.
La surcharge sur la toiture reste le fait déclencheur de ce naufrage.
Les participants avaient recommandé au gouvernement provincial de doter la région d’embarcations sécurisées et de renforcer les contrôles sur la navigation.

Ce jeudi, des affrontements ont été signalés dans et autour de Masisi-Centre, entraînant un nouvel afflux de plus de 10 000 personnes vers l’hôpital général de Masisi et la base de Médecins Sans Frontières (MSF), selon un communiqué de l’organisation humanitaire.
« Une écrasante majorité des réfugiés sont des femmes et des enfants », a déclaré Romain Briey, coordinateur du projet de MSF à Masisi.
»Les structures de MSF et du ministère de la Santé, déjà submergées, ont traité 77 blessés entre le 2 janvier et ce jeudi matin.
Les équipes médicales, qui continuent de soigner les blessés et de fournir des soins réguliers, sont désormais confrontées à des défis logistiques majeurs, notamment l’accès à l’eau potable et la gestion des besoins alimentaires des réfugiés.
Dans les jours à venir, vous verrez une montée en puissance des FARDC et une récupération progressive des territoires occupés.