Tentative de modification ou de changement de la Constitution : Une ligne rouge à ne pas franchir [Tribune]

Voilà les questions dont les réponses constituent, selon Prince Epenge, les trois vérités que le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a manqué de dire aux Mbuji-Mayiens.
La réaction de Prince Epenge présente le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo comme un voleur qui crie au voleur.
“Le voleur crie pour que le volé tremble”, dit un proverbe libanais.
Pour ce porte-parole de Lamuka, plateforme politique de l’Opposition, le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a plutôt manqué de dire trois vérités aux enfants de Mbuji-Mayi.
Les réponses aux questions pertinentes de Prince Epenge constituent les trois vérités que le Président Félix Tshisekedi a manqué de dire aux Mbuji-Mayiens.

Deux militaires des Forces armées de la RDC (FARDC) ont été tués et 10 autres blessés vendredi 17 janvier, dans embuscade une tendue par des miliciens Mai-Mai à Mabambi, sur la route de Buhinga, en territoire de Lubero (Nord-Kivu).
Selon le colonel Mak Hazukay, porte-parole des opérations Sokola 1 et opération Grand-Nord, ces militaires étaient en mission dans la zone pour traquer les auteurs du meurtre du chef de groupement de Bulengya, tué dans la localité de Makoko le même jour.

La commission d’intégrité et de médiation électorale(CIME) a été installée officiellement jeudi 16 janvier a Kisangani (Tshopo) devant le vice-gouverneur de province.
Selon les responsables de cette plate-forme religieuse, cette structure permet aux confessions religieuses de s’unir d’abord elles-mêmes avant d’unir les actions politiques engagées dans la dynamique de la marche qui fait gagner la République.
Selon l’évêque Gabriel Luzolo, président de la CIME/Tshopo, la mission de cette structure est multisectorielle :« Accompagner sous diverses formes le peuple congolais avant, pendant et après les élections jusqu’à ce que l’on soit rassuré de l‘ enracinement de la culture électorale dans notre pays.
C’est à ce titre que notre culture est qualifiée d’une commission d’intégrité et de médiation électorale ( CIME).
C’est dans cette logique, s’inspirant des erreurs de la fois passée ou la plate-forme des chefs des confessions religieuses était souvent écartée et oubliée dans plusieurs occasions par les autorités provinciales, appartient au passé, ajoute-t-ilEnfin, Mgr Grabiel Luzolo assure les uns et les autres de la sincère collaboration, étant donné que « l’Eglise a reçu le mandat de diriger avec toutes les autorités de la province de suivre le processus électoral dans le but de pérenniser la paix et la cohésion sociale pour le développement social dans la province »