Des cicatrices visibles sur la tête, le cou et le visage témoignent encore du calvaire de Vincent Chirac Kabangu, assistant à l’Université des Sciences de l’Information et de la Communication (UNISIC).
Il soutient la peine de mort comme un moyen de restaurer la sécurité :« Moi-même, je suis victime des Kuluna.
Les Kuluna sont des malades à traiter, et la justice devrait d’abord guérir ses propres maux avant d’infliger des sanctions aussi sévères », a-t-il affirmé.
Il faut repenser l’éducation dans les familles, les écoles et les églises, tout en créant des opportunités d’emploi pour les jeunes laissés-pour-compte.
Enfin, Judex Pondu appelle le gouvernement à créer des équipes spécialisées dans les quartiers pour identifier les vrais Kuluna, afin d’éviter les erreurs judiciaires.
Author(s): actualite.cd
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