Préparatifs de la table ronde sur l’appropriation collective du génocide commis en RDC

A défaut, il faut embrasser le système D et être guetté constamment par la police, la prison et le renvoi dans le premier aéroport africain.
La présence de femmes sur la route des Baléares depuis l’Afrique centrale et occidentale, via la Libye et la Tunisie, s’est également accrue.
Les mineurs sont traités comme une « monnaie d’échange politique, exposés à des discours de haine et à la vulnérabilité ».
Ils sont utilisés en « monnaie d’échange politique, exposés à des discours de haine et à la vulnérabilité ».
Et même face à la désillusion, l’idée de rentrer à la maison, n’effleure même pas l’esprit des migrants, pour ne pas devenir la risée du quartier, voire la honte des parents et proches.

Kinshasa, 20 décembre 2024 (ACP).- La version consolidée de la stratégie nationale relative à la conservation de la nature en dehors des aires protégées et du Plan d’actions 2025-2030 en République démocratique du Congo, a été au centre d’une réunion de partage d’informations tenue vendredi à Kinshasa.
« Pour cette réunion, l’objectif était de partager les informations sur la version consolidée de la stratégie nationale relative à la conservation de la nature en dehors des aires protégées et du Plan d’action 2025-2030 en RDC », a déclaré Jean Marie Bolika, superviseur en charge de l’élaboration de ce document.
Pour M. Bolika, il était question de préparer cette stratégie nationale, élaborer la position commune de la RDC avec les parties prenantes, notamment la société civile et les autres acteurs pour défendre les priorités des PACL.
Il a insisté sur les prochaines étapes qui porteront sur le suivi et les mécanismes à mettre en place, affirmant que le rapport relatif à la stratégie nationale sur la conservation de la nature en dehors des aires protégées aborde d’abord les enjeux de ces aires de la RDC.
Et d’autre part, sur les avancées des réformes forestières et de la faune sauvage en identifiant les actions à mettre en place pour la mise en œuvre des décisions prises.

Le procès qui oppose le ministère public et Jacky Ndala à l’influenceuse Denise Mukendi se poursuit au Tribunal de paix de Ngaliema.
Le ministère public a requis, ce mercredi 4 décembre, huit ans de prison à l’encontre de l’influenceuse pour faux bruits, faux en écriture et injures publiques.
Cette action judiciaire fait suite à une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux, dans laquelle Denise Mukendi Dusauchoy révèle que Jacky Ndala aurait subi un viol lors de sa détention à l’Agence nationale des renseignements (ANR) en 2022.
Quant à Jacky Ndala, partie civile à ce procès, il a simplement surpris le ministère public par son désistement.
Le dossier est ainsi clos, en attendant le verdict du tribunal qui a pris l’affaire en délibéré.