Procès en appel du coup d’Etat manqué : s’étant constitué parties civiles au premier degré, les responsables de Chez Momo Hôtel demandent la réévaluation des dommages-intérêts
Au travers de leurs avocats, ces parties ont commencé par la narration des faits, avant de les appuyer en droit.
Pour ces parties, le premier juge avait accordé un montant qui ne correspond pas aux préjudices qui leur ont été causés ; elles demandent à la Cour de revoir à la hausse ces montants de réparation.”
Pour Maître Théodore Mukendi, la réévaluation des dommages et intérêts permettra à leurs clients de mieux se relancer après leur acquittement.”
Avec cette occupation, il est impossible que Chez Momo puisse reprendre ses activités et que ses employés puissent revenir au lieu du travail.
Ce qui fait que le préjudice est encore en train de vivre jusqu’à l’instant où nous sommes en train de nous adresser à la Cour.