La bâtonnière de Kwilu déchue pour manquement aux devoirs

– L’arbitrage de Mateus Kanga Londimo, président de l’Assemblée provinciale de la Tshopo (Nord-est de la République démocratique du Congo), a été sollicité dans un conflit administratif qui oppose les chefs de quartiers et le bourgmestre de la commune de Kabondo, a appris l’ACP mardi lors d’un entretien.
Ces chefs de quartiers accusent le bourgmestre d’avoir procédé à une réorganisation du personnel en violation des textes en vigueur et en contradiction avec un télégramme émis par le Vice-Premier Ministre de l’Intérieur.
Malgré cela, le bourgmestre Losame a effectué une nouvelle mise en place en nommant ses proches et en ignorant les règles », a déploré M. Joseph Daruwezi.
En réaction, le président de l’Assemblée provinciale, Mateus Kanga Londimo, a promis de contacter le bourgmestre pour l’exhorter, dans la mesure du possible, de suspendre temporairement sa décision.
Notons que cette nouvelle mise en place a été effectuée le 30 octobre 2024 dans le but de redynamiser cette catégorie d’agents des entités territoriales décentralisées.

Pour le gouverneur de Kinshasa, « la situation chaotique que nous connaissons actuellement dans la ville n’est pas une fatalité mais un défi que nous pouvons relever ensemble ».
Daniel Bumba a notamment fustigé le laxisme et l’immobilisme de ses collaborateurs communaux dans la lutte contre l’insalubrité, la pollution sonore, les marchés pirates et l’occupation anarchique des emprises publiques.
Il les a appelés à se mobiliser à la base pour la réussite du programme « Kinshasa ezobonga », en organisant notamment les opérations de nettoyage, le balayage des rues, l’entretien systématique des caniveaux.
Le gouverneur a aussi déploré le fait que certaines autorités communales n’ont pas jusqu’à présent déposé leurs plans de développement local alors que la demande leur a été faite depuis plusieurs mois.
C’est le cas de celui de Masina, Joseph Shutu, qui affirme avoir déjà un plan d’actions à mener dans sa commune.

Ces deux opposants ont développé sur la nécessité du combat contre le changement de la Constitution, mais aussi celui de trouver des voies alternatives à cette impasse diplomatique de Luanda.”
De fait, sa politique alimente la division et la partition du pays.
C’est donc le moment du combat contre le changement de la Constitution, mais aussi et surtout celui de trouver des voies alternatives à cette impasse diplomatique de Luanda.
Ces sujets sont critiques pour la survie de la Nation et la dignité de notre peuple.”
Il faut savoir que plusieurs meetings et rassemblements sont organisés au début de l’année 2025, pour sensibiliser la population contre toute alternative d’un changement ou d’une révision de la Constitution.