Kinshasa : suite de l’opération de nettoyage et de réhabilitation de l’avenue Luambo Makiadi (ex Bokassa)

Trois séances d’entraînement auront été assez suffisantes pour le sélectionneur Baylon Kabongolo de faire un grand saut pour le prochain tour, bien que la sélection ne soit pas faite par lui.
Par rapport au Niger, nous avons le niveau appréciable au niveau des clubs.
J’ai aimé la vélocité et la technicité quoique je ne les connaissais pas assez », a-t-il fait savoir en conférence de presse d’après match.
Nous tiendrons compte de notre avance et essayerons de creuser l’écart pour nous permettre de préparer le match du Bénin.
Ce sera la marche vers une qualification historique à une coupe du monde pour ces Léopards cadettes qui emboîteront les pas des dames juniors.

Mbuji-Mayi, 9 janvier 2025 (ACP).- La non-violence a été présentée comme indicateur d’une bonne santé mentale, lors d’un échange jeudi à Mbuji-Mayi, au Kasaï Oriental, dans le centre de la République démocratique du Congo (RDC), dans le cadre de la campagne « Jeudi en noir ».
« En ce jeudi en noir, retenons déjà que choisir la non-violence, qui est une autre façon de promouvoir la masculinité et féminité positives, est un indicateur d’une bonne santé mentale », a déclaré Carlin Vese, expert en genre, masculinité et féminité positive et en développement communautaire au sein de l’Association pour le bien-être familial/Naissance désirable (ABEF-ND).
Selon M. Vese, dans beaucoup de pays, les violences sont souvent cachées, et les victimes préfèrent généralement garder silence, pour éviter la stigmatisation et des actes de repression.
« Il nous incombe à toutes et à tous la responsabilité de dénoncer les violences et de veiller à ce que les femmes et les hommes soient à l’abri de ces abus », a-t-il enchéri.
La campagne « Jeudi en noir » est menée chaque semaine, à travers le monde, pour dénoncer les actes de violence et rendre hommage aux femmes qui résistent à la culture de l’injustice et de la violence.

Les médecins membres du Syndicat des Médecins du Congo (SYMECO) menacent d’entamer une grève générale sur toute l’étendue du territoire national à partir du jeudi 2 janvier 2025.
Cette décision fait suite à l’absence de réponse favorable du gouvernement aux revendications salariales des médecins.
Dans une déclaration faite ce dimanche 29 décembre 2024, le SYMECO dénonce la non-prise en compte de son cahier des charges lors des pourparlers entre le banc syndical des médecins et une délégation gouvernementale tenus à Bibwa en octobre dernier.
Par ailleurs, la crise de confiance qui devrait s’installer rendrait illusoire toute nouvelle négociation entre le Gouvernement de la République et le Banc syndical du secteur de la santé », a-t-il déclaré.
Cette grève pourrait avoir des conséquences graves sur le secteur de la santé, déjà confronté à des défis structurels importants, si aucune solution n’est trouvée rapidement.