Dans une déclaration faite ce mercredi 08 janvier 2024, la Commission d’Intégrité et Médiation Electorales « CIME » s’est livrée à une analyse de l’environnement sociopolitique général qui prévaut en République Démocratique du Congo.
De l’autre côté, se rangent des opposants à la réforme qui, tout en reconnaissant la constitutionnalité de la révision constitutionnelle, en rejette la moindre possibilité avec des arguments à la limite d’un procès d’intention aux autorités soupçonnées de chercher à se maintenir au pouvoir.
Face à cette situation, la Commission d’intégrité et médiation électorale (CIME) recommande au Chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi d’initier des consultations avec les forces politiques et sociales de la République démocratique du Congo avant de mettre en place la commission chargée d’examiner l’opportunité d’une réforme constitutionnelle.
Le débat sur une éventuelle révision de la Constitution divise profondément la classe sociopolitique congolaise.
Selon l’UDPS, actuelle formation au pouvoir, la Constitution en vigueur, rédigée à l’étranger, contiendrait des dispositions entravant le bon fonctionnement des institutions.
Author(s): actualite.cd
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