Professeur Paul-Gaspard Ngondankoy: la Constitution congolaise est la plus généreuse de toutes en matière des droits fondamentaux

Il mettait ainsi en garde le chef de l’État Jospeh Kabila contre la tentation de briguer un troisième mandat inconstitutionnel.
Entre les lieutenants de Katumbi et de Kabila, les passe d’armes vont se succéder sans ménagement.
Trahisons en sérieKatumbi et Kabila vont encore creuser leurs divergences au début du règne de Tshisekedi.
Ce divorce ouvre la porte à une entrée de Moïse Katumbi dans l’Union sacrée, la plateforme qui se cristallise autour de Félix Tshisekedi.
Parallèlement, les nuages s’amoncellent au-dessus des deux éphémères « collaborateurs » de la présidence, tandis que le torchon brûle entre les familles Kabila et Katumbi dans le grand Katanga.

Le président de l’Intersyndicale de l’Office national des transports (ONATRA), Armand Ossase a indiqué, mercredi 4 décembre, son entreprise nécessite 26 millions USD pour achever son plan de redressement.
Armand Ossase a rapporté que la mise en œuvre de ce plan va permettre à l’ONATRA d’acquérir six locomotives en vue de desservir les voies ferrées urbaines et la ligne Kishasa-Matadi.
Selon lui, l’acquisition de ces engins va également les aider à faciliter les transports des personnes et des biens à Kinshasa et sur le tronçon Kinshasa-Matadi.
Nous sollicitons l’implication et la volonté du Gouvernement pour nous accompagner.
Dans le plan directeur, l’Etat nous doit 207 millions pour permettre à l’ONATRA d’acheter six trains pour la ville de Kinshasa ainsi que quatre et 40 wagons pour le Kongo-Central », a apoursuivi Armand Ossase.

Après l’Union européenne et les USA, c’est au tour de la Belgique de condamner fermement l’expansion territoriale du pays de Paul Kagame en RDC.
L’intégrité territoriale de la RDC doit être respectée.
Alors que les pourparlers de paix sont au point mort, la Belgique a réitéré son soutien à une solution politique.
Pour sa part, la cheffe de la diplomatie congolaise a indiqué que « la RDC reste engagée en faveur de la paix sous la facilitation de l’Angola », précisant cependant qu’une paix durable « exige du courage, de l’humanisme et une volonté politique de tous ».
Réagissant à la position de la communauté internationale, dénonçant le soutien de l’armée rwandaise aux rebelles du M23, le ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe a affirmé que « seule » la prise en compte des revendications des Tutsis congolais et des menaces sécuritaires contre le Rwanda pourrait contribuer de manière significative au rétablissement de la paix dans l’est de la RDC et dans la région des Grands Lacs.