Nouveau Rapport ONU: Kinshasa se demande pourquoi il n’y a toujours pas de sanctions contre le Rwanda pour son rôle déstabilisateur dans l’Est de la RDC

Cette rencontre portait également sur l’évaluation des opérations de la Police nationale congolaise (PNC) dans la gestion des embouteillages liés à la mesure controversée de “circulation à sens unique”.
Ces audiences visent à garantir que les personnes interpellées soient jugées en flagrance et que des sanctions soient prises rapidement.
Bien que l’initiative soit lancée à Kinshasa, l’opération “Ndobo” s’étendra à d’autres provinces touchées par l’insécurité liée à la criminalité urbaine.
En parallèle, la réunion de ce vendredi a permis d’évaluer les mesures adoptées pour fluidifier la circulation dans la capitale, en particulier la mise en œuvre de la circulation à sens unique.
Des mesures correctives ont été annoncées pour renforcer l’action de la police dans la gestion des embouteillages, répondant ainsi aux préoccupations de la population kinoise.

Le maire de la ville de Boma (Kongo-Central), Senghor Butuyibi, a annoncé samedi 18 janvier, l’ouverture dès la semaine prochaine du nouveau cimetière public à Boma.
Ce nouveau site d’enterrement baptisé « Nlunga Vasa », est situé à environ 20 kilomètres sur la route de Matadi et s’étend sur 31 hectares.
Senghor Butuyibi invite la population de Boma à s’approprier ce lieu d’inhumation, en lieu et place des cimetières privés :« Jusque-là, la population hésite encore.
Elle doit donner la valeur à ce nouveau site, au lieu d’aller dans des cimetières privés ».
L’Office de voirie et drainage, (OVD) indique qu’il travaille déjà sur l’aménagement des parkings et l’ouverture des espaces pour rendre ce cimetière facilement accessible.

Selon elle, c’est dans le cadre de seize jours d’activisme qu’ils ont voulu organiser cette activité aujourd’hui malgré qu’ailleurs, elle a été célébrée hier.
Nous demandons aux autorités d’avoir un œil regardant sur cet état de chose et de faire respecter les droits de chacun ; il faudrait que l’Etat prône aussi les personnes vivant avec handicap et les plaçant aux postes de décision », a-t-elle indiqué en substance.
Dans le quartier où je vis, il y a un voisin qui a fait passer la rigole nous séparant dans la parcelle nous laissée par mes parents, parfois aussi nous subissons le jet des pierres de la part des enfants ».
Plusieurs autres témoignages des personnes vivant avec handicap ont été entendus se disant très satisfaites pour l’organisation de cette activité qui a inclu non seulement les handicapés mais aussi les personnes en bonne santé physique, les jeunes et les cadres de base.
Cette activité a été soutenue financièrement par la GIZ –Qualipro dans le cadre de soutien de la campagne de 16 jours d’activisme contre les violences basées sur le genre a-t-on appris.