Maniema : les frais de la formation professionnelle fixés à 32 000 francs congolais par trimestre

2024 (ACP).- Une série d’actions amenées en décembre a été annoncée à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC), pour lutter contre les violences basées sur le genre (VBG) d’ici 2030 chez les jeunes, a-t-on appris lundi des organisateurs.
«Nous organisons , tout au long de ce mois de décembre, une série d’activités pour la lutte contre les violences basées sur le genre d’ici 2030 en milieu des jeunes et pour assurer la sauvegarde des droits de l’homme dans le cadre de la campagne mondiale de 16 jours d’activisme contre les violences basées sur le genre dans le milieu des jeunes », a déclaré Héritier Konde, coordonnateur de « Tobongisa ASBL ».
« Il y aura un échange éducatif avec les élèves sur comment lutter contre les VBG en milieux scolaires : les six et sept décembre, un atelier de formation de renforcement des capacités sur les droits de l’homme et les violences basées sur le genre: le 10 et une campagne de sensibilisation et échange sur les droits de l’homme et les violences basées sur le genre à l’université Omnia Omnibus : le 14 décembre » a-t-il ajouté.
Par ailleurs, M. Konde a indiqué qu’ « après les différentes formations de cette campagne sur les violences basées sur le genre, les participants formuleront des recommandations auprès des autorités politiques, afin de construire une société sans discrimination de genre et prône l’égalité, la parité et l’équité au sein de la communauté congolaise ».
Cette séries d’activités est organisée par Tobongisa ASBL et Francophonie sans frontières, avec l’appui de Zoom tech, Popspco.RDC et les affaires et moi, vise toutes les couches sociales (Jeunes, Hommes et femmes) avec au moins mille personnes, rappelle-t-on.

Dans une déclaration faite ce mercredi 08 janvier 2024, la Commission d’Intégrité et Médiation Electorales « CIME » s’est livrée à une analyse de l’environnement sociopolitique général qui prévaut en République Démocratique du Congo.
De l’autre côté, se rangent des opposants à la réforme qui, tout en reconnaissant la constitutionnalité de la révision constitutionnelle, en rejette la moindre possibilité avec des arguments à la limite d’un procès d’intention aux autorités soupçonnées de chercher à se maintenir au pouvoir.
Face à cette situation, la Commission d’intégrité et médiation électorale (CIME) recommande au Chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi d’initier des consultations avec les forces politiques et sociales de la République démocratique du Congo avant de mettre en place la commission chargée d’examiner l’opportunité d’une réforme constitutionnelle.
Le débat sur une éventuelle révision de la Constitution divise profondément la classe sociopolitique congolaise.
Selon l’UDPS, actuelle formation au pouvoir, la Constitution en vigueur, rédigée à l’étranger, contiendrait des dispositions entravant le bon fonctionnement des institutions.

Une Économie Intelligente pour Soutenir l’AgricultureL’agriculture est plus qu’une simple activité économique : elle est la base de notre souveraineté et de notre stabilité.
Mais pour maximiser son impact, elle doit s’appuyer sur une économie intelligente, intégrant la technologie, l’innovation et la recherche.
Une RDC qui mise sur la science et la technologie est une RDC qui se prépare à un avenir prospère.
Ces efforts transformeront l’agriculture en un moteur puissant de développement économique et social, tout en assurant la sécurité alimentaire et en réduisant la dépendance extérieure.
Une économie intelligente, une agriculture durable et une recherche renforcée sont les piliers sur lesquels se bâtira une RDC souveraine et prospère.