Day: January 8, 2025

Plus rien n’arrête la congolaise qui réalise une saison 2024 – 2025 tonitruante.
C’était au tour d’Al Ula d’avoir pour son compte en marge de la victoire (3-1) des siennes en quart de finale.
A la 14è minute, elle allumait la première mèche avant de récidiver à la 54è minute pour sceller la qualification de son équipe au dernier virage.
Un doublé qui porte son addition à 6 buts en cette coupe saoudienne.
«Cette année, nous avons enregistré des venues de pas mal des joueuses aguerries de bon niveau.

Il nous fallait un point pour nous qualifier et quand c’est le cas, il y a la peur de perdre.
Nous nous attendions un peu à cela mais pas comme cela s’est passé sur le terrain.
L’adversaire nous a été supérieur dans les duels et nous tirons pour la 1ère fois à la 43ème minute.
Calmement à la pause, nous avons remis les choses en place et que nous ne pouvions pas continuer le match à ce rythme là.
Cela ne nous donne pas un avantage du fait que nous sommes qualifiés.

« Il y a eu altercation entre des éléments de l’APCLS et des Nyantura, près de Sake.
Ils se disputaient la gestion de la barrière située juste à la sortie de Sake, sur la route qui mène vers Kitshanga.
Il y a eu des morts et des blessés de part et d’autre.
Fin septembre 2024, les éléments wazalendo et les militaires FARDC s’étaient disputés la gestion de certaines barrières dans le groupement Rusayo, toujours dans le Nyiragongo.
Des échanges de tirs avaient occasionné des morts et des blessés dans les deux camps.

De la nomination historique d’une femme à la tête du gouvernement aux succès des sportives congolaises, ces faits témoignent des progrès réalisés et des défis persistants.
Bien qu’elle n’ait pas atteint les phases finales, Ilda Amani s’est dite honorée d’avoir porté haut les couleurs de la RDC sur la scène internationale.
C’est après une saison exceptionnelle, où l’équipe congolaise a remporté la Ligue des champions féminine de la CAF, une première dans l’histoire du club et de la RDC.
La nouvelle a plongé la communauté chrétienne de la République Démocratique du Congo dans le deuil.
Sous la menace, l’un des agresseurs l’a frappée violemment à la tête, entraînant une perte de connaissance.

Il révèle qu’à ce stade, plus de 300 délinquants ont été déjà condamnés à la suite de plus de 11 audiences foraines.
« À notre niveau, nous avons pu organiser plus de 11 audiences foraines, et plus de 300 Kuluna ont été condamnés.
Ces condamnations, rassure-t-il, ont été prononcées dans le strict respect de tous les droits des justiciables, voire le droit à l’accès au double degré de juridiction et à la défense.
« Tous ces droits ont été garantis.
Droit également de se faire assister par des avocats ou encore par des défenseurs judiciaires», insiste Constant Mutamba.

En tête d’affiche de l’opération «Ndobo», visant à éradiquer le banditisme urbain à travers les grandes villes de la RDC, le ministre de la justice et garde des sceaux, Constant Mutamba, a fait savoir que la stratégie mise en place est celle de déférer les coupables tant devant les juridictions civiles que militaires.
D’après lui, les actes que posent ces bandits relèvent du terrorisme.
«Et, cette infraction est prévue par le code pénal militaire», précise le ministre d’État chargé de la justice et garde des sceaux.
Par ailleurs, l’opération « Ndobo » est également exécutée dans les juridictions civiles, conformément à l’article 257 du code pénal ordinaire, prévoyant l’infraction d’association des malfaiteurs, punie par la peine de mort.
Constant Mutamba a également évoqué la montée des gangsters en Haïti, à la base de la paralysie des institutions, défiant l’État.

Ce report a été décidé sous la pression de certains États membres et grands exportateurs agricoles, comme le Brésil et la Malaisie.
Produits concernésLe règlement vise des produits comme le cacao, le café, le bois, l’huile de palme et le bétail.
Un classement par risqueLes pays ou régions d’origine des produits seront classés comme à “risque faible”, “standard” ou “élevé”.
Les produits provenant de zones à risque élevé seront soumis à des contrôles renforcés.
Consultation des populations localesPour certains produits, les entreprises devront documenter les consultations menées avec les communautés locales et autochtones dans les zones de production.