Équipe de France : Zinédine Zidane, successeur tout désigné de Didier Deschamps ?

La porte est ouverte à la réalisation d’un vieux fantasme des supporters : l’arrivée de la légende Zinédine Zidane sur le banc de l’équipe de France.
L’Équipe va-t-il bientôt pouvoir ressortir sa une culte de 2005 annonçant le retour de Zinédine Zidane en équipe de France, un an après sa retraite ?
Face à un tel monument de “la gagne” à la française, seul Zinédine Zidane semble être à la mesure.
Sur le nom de Zinédine Zidane, le président n’a pas voulu s’avancer non plus : “Il est l’un des monuments du football français et du football mondial.
Zidane n’a jamais caché ses envies en BleusZinédine Zidane n’a pas officiellement réagi à la nouvelle du départ de son coéquipier de France 98.

RDC: L’IGF conteste les raisons avancées par l’ODEP pour son retrait du partenariat avec la société civile, évoquant des dissensions internes sur la gestion financière et administrative

La source indique que le vrai motif serait les divergences au sein de cette alliance sur la gestion financière et administrative.
À cet effet, l’ODEP avait saisi l’IGF pour demander un rétablissement de l’ordre au sein de la direction.
Nous, à l’IGF, nous regrettons cela tout simplement parce que nous devons travailler dans une synergie », indique la source.
La création du DIEF n’a pas fragilisé l’IGFPar ailleurs, l’IGF estime que la création du Département d’intelligence économique et financière (DIEF) au sein de l’ANR ne l’a pas fragilisée, comme l’indique l’ODEP.
« Nous avons signé un accord avec ce département il y a deux mois, pour que nous collaborions sur certains dossiers pour plus de technicité.

Nord-Kivu : Plus de 102 000 déplacés en trois jours après l’offensive du M23 à Masisi-centre

Entre le 1er et le 3 janvier 2025, des affrontements violents entre les forces armées de la RDC (FARDC) et le groupe armé M23 ont entraîné le déplacement d’environ 102 000 personnes dans le centre de Masisi, au Nord-Kivu, selon des données d’OCHA.
Le 4 janvier, le M23 a pris le contrôle de Masisi-centre, une action qui a suscité une vive réaction de la communauté internationale.
Le gouvernement angolais a publié un communiqué qualifiant cette occupation d’« irresponsable » et de grave atteinte à la souveraineté territoriale de la RDC.
À la fin de novembre 2024, Masisi comptait déjà plus de 600 000 déplacés internes, et ce nouvel afflux aggrave encore la situation.
Sur le plan international, les États-Unis ont exhorté le M23 à cesser ses hostilités et demandé au Rwanda de retirer ses forces présentes en RDC.

Nord-Kivu : Plus de 102 000 déplacés en trois jours après l’offensive du M23 à Masisi-centre

Entre le 1er et le 3 janvier 2025, des affrontements violents entre les forces armées de la RDC (FARDC) et le groupe armé M23 ont entraîné le déplacement d’environ 102 000 personnes dans le centre de Masisi, au Nord-Kivu, selon des données d’OCHA.
Le 4 janvier, le M23 a pris le contrôle de Masisi-centre, une action qui a suscité une vive réaction de la communauté internationale.
Le gouvernement angolais a publié un communiqué qualifiant cette occupation d’« irresponsable » et de grave atteinte à la souveraineté territoriale de la RDC.
À la fin de novembre 2024, Masisi comptait déjà plus de 600 000 déplacés internes, et ce nouvel afflux aggrave encore la situation.
Sur le plan international, les États-Unis ont exhorté le M23 à cesser ses hostilités et demandé au Rwanda de retirer ses forces présentes en RDC.

RDC: L’IGF conteste les raisons avancées par l’ODEP pour son retrait du partenariat avec la société civile, évoquant des dissensions internes sur la gestion financière et administrative

La source indique que le vrai motif serait les divergences au sein de cette alliance sur la gestion financière et administrative.
À cet effet, l’ODEP avait saisi l’IGF pour demander un rétablissement de l’ordre au sein de la direction.
Nous, à l’IGF, nous regrettons cela tout simplement parce que nous devons travailler dans une synergie », indique la source.
La création du DIEF n’a pas fragilisé l’IGFPar ailleurs, l’IGF estime que la création du Département d’intelligence économique et financière (DIEF) au sein de l’ANR ne l’a pas fragilisée, comme l’indique l’ODEP.
« Nous avons signé un accord avec ce département il y a deux mois, pour que nous collaborions sur certains dossiers pour plus de technicité.

Fraude minière en RDC : une commission d’étude va être mise en place

Les pratiques frauduleuses font de plus en plus scandale dans le secteur minier en République Démocratique du Congo (RDC).
En réponse à ces problèmes, il va être mis en place, dans les plus brefs délais, une commission indépendante dédiée à l’étude de ces pratiques frauduleuses.
La commission indépendante aura pour mission d’analyser la situation et de proposer des solutions adaptées pour contrer efficacement la fraude et la contrebande qui nuisent à l’économie nationale.
Cette nouvelle commission n’entraîne pas la suppression des efforts déjà fournis par la Commission Nationale de Lutte contre la Fraude Minère et l’Inspection Générale des Mines.
Les ministres présents, y compris ceux de la Défense, des Hydrocarbures et des Mines, ont analysé la situation alarmante qui prévaut dans les zones minières.

Nord-Kivu : des structures de la société civile dénoncent l’érection des barrières illicites

Lubero, 8 janvier 2025 (ACP).- Plusieurs structures de la société civile du Nord-Kivu (Est de la République démocratique du Congo) s’insurgent les barrières illicites érigées par les militaires et les wazalendo sur l’axe routier Butembo-Manguredjipa pour tracasser la population, a constaté l’ACP dans un entretien mercredi avec le président de la société civile du secteur de Bapere .
« La pluralité des barrières sur l’axe Butembo -Manguredjipa est une autre forme d’insécurité pour la population qui fréquente cet axe routier du territoire de Lubero.
Nous lançons un cri d’alarme aux autorités de l’état de siège, car il est inquiétant de voir les militaires et wazalendo déployés pour traquer les rebelles Adf se livrer à faire payer des taxes sur les barrières implantées sur le long de la route », s’exclame M. Samuel Kagheni, président de la société civile du secteur de Bapere tout en reconnaissant un seul service habilité à ériger des barrières sur cet axe.
« Nous savons que seule la Société des Services Vihumbira (SSV) est reconnue officiellement pour ériger des barrières sur cet axe et percevoir la taxe péage route ; à notre grande surprise, six autres barrières qui exigent de l’argent pour accéder au passage ont été placées sur la route Butembo -Manguredjipa pour un tronçon long de 100 kilomètres.C’est une tracasserie qui vise à appauvrir la population déjà marginalisée d’avance par la guerre », s’inquiète la société civile.
Notons que la société civile sollicite l’implication des autorités militaires pour que l’armée fasse son travail, celui de sécuriser la population et ses biens.

Haut-Katanga : la reprise des cours saluée par le directeur provincial de l’éducation

Lubumbashi, 08 janvier 2025 (ACP).- Le directeur provincial de l’éducation (Proved) s’est dit satisfait du démarrage effectif lundi, des cours du deuxième trimestre dans les écoles de la province éducationnelle Haut-Katanga, lors de la tournée effectuée dans quelques établissements scolaires de Lubumbashi, au sud-est de la République démocratique du Congo, a constaté l’ACP.
« Je suis content et satisfait du démarrage effectif des cours du deuxième trimestre qui a été marqué par la présence remarquable, malgré la pluie, des élèves dès ce premier jour », a déclaré le Proved Joseph Mwinkeu Tshiend, avant d’inviter les élèves à la régularité aux cours.
« Sachez que le deuxième trimestre a commencé aujourd’hui, et le programme de l’enseignement sera respecté.
Dites à vos amis qui sont restés à la maison que les cours ont repris », a-t-il renchéri.
Par ailleurs, cette visite a commencé par les écoles publiques conventionnées et non conventionnées, jusqu’à chuter dans les écoles privées agréées du centre et de la périphérie de la ville de Lubumbashi.

Haut -Katanga: présentation de l’état des lieux sur le plan éducationnel

Lubumbashi, 08 janvier 2025 (ACP).- Le directeur provincial de l’éducation (Proved) du Haut-Katanga, M. Joseph Mwinkeu, au sud-est de la République démocratique du Congo, a présenté, mercredi, l’état des lieux de sa juridiction sur le plan éducationnel, a constaté l’ACP.
« Notre province éducationnelle fait face à quelques problèmes d’ordre fonctionnel tels que l’insuffisance des bancs pupitres, des installations sanitaires de qualité, et des points d’eau dans les écoles publiques conventionnées et non conventionnées », a-t-il indiqué au cours d’un entretien avec une députée nationale élue de la circonscription électorale de Lubumbashi, Pauline Igwabi Mushengezi, dans son bureau de travail, avant d’ajouter : « s’agissant de la gratuité de l’enseignement primaire dans les établissements publics, cette vision de haute portée du Chef de l’État est d’application et se pérennise sans aucun problème ».
La députée nationale Pauline Igwabi Mushengezi a, quant à elle, promis d’en faire sa préoccupation auprès du gouvernement central en mentionnant le point dans son rapport parlementaire lors de la reprise de la session de mars.

Le plus grand site d’information en république démocratique du congo

Le vice-premier ministre de l’Intérieur, sécurité et décentralisation, Jacquemain Shabani, le vice-premier ministre de la Défense nationale, Guy Kabombo, le ministre des Mines et celui des Hydrocarbures ont tenu une réunion ministérielle ce mardi 07 janvier 2025, sur instruction de la première ministre, Judith Suminwa Tuluka, autour de la lutte contre la fraude minière.
Ladite réunion fait suite aux différentes préoccupations évoquées par le président de la République, Félix Antoine Tshisekedi, lors de la 18ᵉ réunion du conseil des ministres sur la présence irrégulière des sujets étrangers et quelques hommes en uniforme et en arme dans certains sites miniers de la RDC.
De ces échanges ressort la mise en place urgente d’une structure indépendante sous la responsabilité du ministre des Mines, chargée d’analyser en profondeur la question et d’y remédier, afin de ne pas laisser des synopsis de fraude ou de contrebande minière.
Notons par ailleurs que ladite structure ne fait pas doublure à la Commission nationale de lutte contre la fraude ou encore à l’Inspection générale des mines.
Grâce Kenye

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