Vers un Fil d’Actualité Performant grâce à la Coopération entre la MAP et l’ACP

L’objectif est clair : soutenir l’ACP dans l’opérationnalisation d’un fil d’actualité moderne et performant.
Dans le cadre des efforts de coopération entre les agences de presse africaines membres de la FAAPA, une réunion stratégique a eu lieu à Kinshasa, mettant en lumière le partenariat entre la MAP et l’ACP.
M. Hisham El Alaoui, conseiller du Directeur général de la MAP, et M. Abderrahim Lam Kah Kah, ingénieur à la Direction des systèmes d’information de l’agence marocaine, ont représenté la MAP lors de cette rencontre.
Cette séance de travail témoigne de l’engagement des agences de presse africaines à travailler ensemble pour relever les défis communs liés à l’information et au numérique.
Le partenariat entre la MAP et l’ACP, soutenu par la FAAPA, marque une étape importante dans la modernisation des outils de communication de l’Afrique, au service d’une information de qualité et d’une meilleure visibilité internationale.

Maniema : mise en place des mécanismes de plaintes du Parc National de la Lomami

Kindu, 07 janvier 2025(ACP).– La mise en place des mécanismes de gestion du Parc National de la Lomami (PNL), dans le secteur de Balanga, territoire de Kailo, province du Maniema (centre-Est de la République démocratique du Congo), a été saluée par les parties prenantes, a appris l’ACP mardi dans un entretien.
« Après la sensibilisation localité par localité sur l’axe routier Bafundo-Dingi, couplée à une séance de vulgarisation des procédures de gestion des plaintes contenues dans le mécanisme que nous avons organisé, l’intention de toutes les parties prenantes du secteur de Balanga impliquée dans la conservation autour du Parc National de la Lomami (PNL), une aire protégée que dirige en cogestion l’Institut Congolais pour la Conservation de la Nature (ICCN) et la Société zoologique des Francophones, notamment la Société civile, la jeunesse et les autres couches de la population à Dingi, village situé à 50 Km de Kindu, en territoire de Kailo, toutes les parties ont salué l’avènement et la mise en place des Mécanismes de Gestion des Plaintes », a fait savoir M. Pierre Basanga, le directeur en charge des Droits humains et les Mécanismes de Gestion des Plaintes (MGP) à l’ICCN/Maniema.
Et d’ajouter : « cette mise en place de mécanismes de gestion des plaintes, qui est comme mode de résolution pacifique des conflits que la Communauté de Balanga a bien accueillie, a pour principal objectif de régler les différents litiges liés à la conservation qui pourra surgir entre les parties prenantes impliquées dans la conservation et les gestionnaires du Parc National de la Lomami qui vient renforcer les liens de collaboration entre les Communautés vivantes autour du PNL et les gestionnaires de patrimoine mondial et surtout que nous voulons emboiter les pas et prendre comme orientation la résolution pacifique et la gestion participative dans la conservation de la nature dans la gestion de l’aire protégée, étant donné que ce Parc a de l’avenir ».
Pour sa part, M. Lucien Longoma Ilunga, notable et porte-parole de la Communauté du secteur de Balanga, a exprimé sincèrement sa joie de voir que non seulement ces mécanismes de gestion des Plaintes du Parc National de la Lomami qui venait d’être mise en place a eu l’adhésion de toutes les Communautés du secteur de Balanga, mais aussi comment l’ICCN , qui est une institution de l’Etat, a montré sa compassion à l’égard de la population riveraine du Parc National de la Lomami (PNL) en accompagnant la gestion des conflits d’une manière de l’amabilité.
A cette occasion, il a salué l’engagement de l’ICCN et ses partenaires pour cette initiative qui pourra aider à toutes les Communautés riveraines de bien se comporter avant de promettre non seulement la mise en pratique de ce mécanisme de gestion des plaintes dont l’objectif est de renforcer la collaboration entre les Communautés et l’ICCN, mais aussi assurer son engagement ferme sur cette question de développement ; et il doit relayer le message à toute la population que cette initiative est très capitale, elle va réduire sensiblement les conflits entre les gestionnaires du Parc National de la Lomami et la population riveraine.

Le Kasaï doté de 15 jeeps pour la mobilité de la Police et des administrateurs des territoires

Le président de la République démocratique du Congo, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a fait une dotation de 15 jeeps Land cruiser à la province du Kasaï pour la mobilité des administrateurs des territoires et la police nationale congolaise.
Selon maître Augustin Mulumba, chargé des missions du gouverneur du Kasaï, qui a réceptionné ces véhicules au ministère de l’Intérieur, ces véhicules viennent résoudre le problème de mobilité desdits services dans la province du Kasaï.
C’est une dotation du chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo à la province du Kasaï.
Ces véhicules vont faciliter la mobilité des administrateurs de territoires et de la police nationale congolaise.
Pour rappel, lors de son itinérance à Tshikapa dans la province du Kasaï, le président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, avait promis de doter les administrateurs des territoires et la police de véhicules pour leur mobilité.

Kinshasa : au moins 276 bandits urbains condamnés dans le cadre de l’opération Ndobo en une année

Au moins de 276 bandits urbains communément appelés Kulunas ont été condamnées devant les cours et tribaux sur plus de 2500 interpellés, en l’espace d’un mois, dans le cadre de l’opération Ndobo, à Kinshasa.
Le vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur, Jacquemain Shabani a livré ces chiffres, ce mardi, dans un entretien accordé à Radio Okapi.
Nous sommes à 276 condamnés devant les juridictions civiles et militaires et d’autres ont été relaxés parce qu’il n’y avait pas de charges qui les concernaient après leur arrestation.
Ils se sont surement trouvés malheureusement dans les mauvais milieux où la police était en train d’opérer face au banditisme urbain.
Il a en outre affirmé que le Gouvernement se propose d’étendre l’opération Ndobo à d’autres grandes villes du pays dont Matadi, Kikwit, Goma, Lubumbashi, Mbandaka et autres.

Affrontements entre M23 et FARDC sur deux fronts dans le territoire de Masisi

De violents combats ont opposé l’armée congolaise et ses alliés aux rebelles du M23, soutenus par le Rwanda, sur au moins deux fronts ce mardi 7 janvier dans le territoire de Masisi (Nord-Kivu).
Ces combats ont eu lieu notamment autour de Ngungu, groupement Ufamandu 1er, et autour de Sake, groupement Kamuronza.
Ils ont causé des morts, dont le nombre n’a pas été révélé, dans les deux camps.
Ces miliciens se seraient disputé la gestion des barrières de perception des taxes illégales sur la route Kimoka-Kitshanga, indiquent ces sources.
Et, selon plusieurs sources, l’armée congolaise et les Wazalendo auraient déjà repris le contrôle de plusieurs villages autour de Ngungu.

Maniema : au moins 2045 maisons détruites après une pluie diluvienne accompagnée d’un vent violent à Kindu

2025-01-072025-01-072025-01-072025-01-07Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/06-12/maniema_kindu_pluie_diluvienne_vent_violent_07_jan_2025.jpgLa forte pluie qui s’est abattue dans la nuit de vendredi à samedi 04 janvier, accompagnée d’un vent violent sur la ville de Kindu, chef-lieu de la province du Maniema, a causé des dégâts matériels et inondé et détruit des maisons, laissant de nombreuses familles sans abris.
Le bilan avancé, ce lundi 06 janvier 2025, par le service de la division provinciale des affaires sociales et actions humanitaires du Maniema, est de 2045 maisons détruites sans oublier les écoles et les églises.
“Nos équipes viennent d’enregistrer un bilan provisoire qui fait état de 2045 maisons détruites par cette pluie diluvienne dans l’ensemble des trois communes.
La commune de Kasuku demeure toujours en tête avec 1147 maisons dont les murs ont été écroulés, des toitures emportées par le vent violent ; suivi de la commune de Mikelenge avec 724 et la commune d’Alunguli en dernière position avec 174 maisons détruites”, a expliqué Bonny Wakenge, chef de la division provinciale des affaires sociales et actions humanitaires au Maniema.
Toutefois, la division provinciale des affaires sociales et actions humanitaires au Maniema a attiré l’attention du gouvernement provincial et des humanitaires pour venir en aide aux sinistrés exposés aux intempéries en cette période pluvieuse.

Le taiseux Kabila au cœur de la bataille

« Ceux qui croient que le raïs s’est retiré de la scène politique pour de bon se trompent lourdement », proclame un communiqué signé par Raymond Tshibanda, responsable de la cellule de crise de l’ex-majorité au pouvoir.
Promesse du retourL’ancien chef de la diplomatie congolaise affirme que le 4ᵉ président de la RDC reste une figure incontournable.
« Dans la lutte sans merci contre la dictature […] sachez que vous pouvez et devez compter avec l’homme sage à la parole rare mais aux actions concrètes.
La plateforme du sénateur à vie a choisi l’anniversaire du 4 janvier 1959, marquant la lutte pour l’indépendance, pour galvaniser ses troupes.
Le ton est grave, l’heure est à la mobilisation.

Procès forages : la partie Mike Kasenga dénonce une pression « occulte » sur la Cour de cassation pour influencer le verdict

2025-01-072025-01-072025-01-072025-01-07Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/06-12/proces_forages_la_partie_mike_kasenga_denonce_une_pression_occulte_2025.jpgLa Cour de cassation rendra le 22 janvier prochain son arrêt relatif au procès sur le projet de construction des forages et lampadaires à travers la République démocratique du Congo.
À quelques jours du verdict, la partie de l’opérateur économique Mike Kasenga qui est accusé de détournement présumé des deniers publics, dénonce une pression « occulte » qui serait exercée sur les juges de la Cour de cassation pour faire condamner son client.
Pour les proches de Mike Kasenga, les accusations de détournement s’effondrent.
Faute de preuves solides, La défense s’attache à démontrer le caractère injustifié des poursuites.
Il estime que le retard de livraison des stations relève davantage de l’incapacité du gouvernement à indiquer les sites de construction plutôt que de la responsabilité de l’opérateur économique.

Est de la RDC : la MONUSCO condamne la poursuite de l’expansion territoriale du M23

2025-01-072025-01-072025-01-072025-01-07Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/06-12/bintou_keita_07_jan_2025.jpgÀ travers un communiqué rendu public ce mardi 7 janvier 2025, Bintou Keita, représentante spéciale du secrétaire général des Nations-Unies en République Démocratique du Congo (RDC) et cheffe de la Mission de l’Organisation des Nations-Unies pour la Stabilisation en RDC (MONUSCO), condamne « avec la plus grande ferme » l’offensive menée par le Mouvement du 23 mars (M23) depuis le 2 janvier dernier dans l’Est de la RDC.
Le M23 qui, selon le groupe d’experts des Nations-Unies, est soutenu par des forces extérieures d’un État voisin, a violé l’accord de cessez-le-feu signé le 30 juillet 2024 entre la RDC et le Rwanda.
Bintou Keita martèle sur l’importance du respect de l’intégrité territoriale de la RDC, en réitérant l’engagement ferme des Nations-Unies à soutenir ce principe fondamental.
« Cette escalade de violence, qui affecte cruellement les populations civiles, constitue un tournant tragique en ce début d’année 2025 et doit cesser immédiatement », a déclaré Bintou Keita.
Elle réaffirme l’engagement « inébranlable » de la MONUSCO à promouvoir la paix, la sécurité et la stabilité en RDC.

Tshopo : grogne à la prison centrale de Kisangani

Kisangani, 07 octobre 2025 (ACP).- Les détenus et plusieurs agents de la prison centrale de Kisangani, au nord-est de la République démocratique du Congo, ont exprimé, lundi, leurs mécontentements à un probable retour à la tête de cette prison de l’ancien directeur, M. Alphonse Kisubi, a appris l’ACP mardi de source administrative.
Salon un agent de cette prison : « les détenus ont manifesté leurs mécontentements en jetant des projectiles en l’air, tout en scandant ensemble avec quelques agents de cette prison des chants hostiles au retour imminent de leur directeur suspendu, l’accusant ainsi de détourneur des biens, fonds et autres services destinés au fonctionnement de cette institution ».
Les agents de la PNC et FADRC assurant la sécurité dans cette prison n’ont pas tardé à rétablir l’ordre et la tranquillité de manière professionnelle.
Rappelons que la prison centrale de Kisangani est à ce jour gérée par un directeur intérimaire en la personne de M. Junior Okondji, après la suspension, il y a de cela quelques mois de M. Alphonse Kisubu Lokopo, par sa hiérarchie qui l’a accusé de plusieurs griefs, notamment la mauvaise gestion de cette maison carcérale, qui manque à ce jour des latrines et qui connait des coupures intempestives de l’énergie électrique rendant ainsi la vie difficile aux pensionnaires de cette maison de correction.

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