Kinshasa : une maison visitée par des bandits à main armée à N’sele

Kinshasa, 6 décembre 2024 (ACP).- 24 journalistes femmes de la République démocratique du Congo ont été honorées par une association pour leurs apports dans le secteur de média, jeudi à Kinshasa lors d’une soirée de gala, a appris l’ACP vendredi d’un communiqué de presse de l’organisation.
Malgré les discriminations nous osons croire et dire à la nouvelle génération qu’il y a de l’espoir», a poursuivi Mme.
A la TFM nous avons décidé à chaque descente nous mettons les pagnes, pour promouvoir la femme.
Plusieurs temps forts ont marqué cette soirée notamment : le Panel, la remise de Trophées aux femmes journalistes qui ont marqué leur temps, ensuite s’en est suivi une présentation des portraits d’une des femmes des médias.
Plusieurs autres catégories des personnalités qui se sont recrutées parmi des journalistes, des artistes, des femmes influentes et des politiques, ont aussi rehaussé de leur présence à cette manifestation, a conclu la sourceACP/C.L.

Félix Tshisekedi a exprimé cette position lors de la 26ᵉ réunion du Conseil des ministres, tenue ce vendredi 20 décembre à la Cité de l’Union africaine.
Pour Félix Tshisekedi, l’introduction par le Rwanda d’un dialogue direct entre la RDC et le M23 comme préalable à la signature de l’accord de paix constitue une entrave majeure et délibérée aux efforts collectifs pour ramener la paix dans l’Est de la RDC.
Pendant ce temps, la situation sécuritaire dans le Nord-Kivu demeure critique.
Les rebelles du M23, soutenus par Kigali, poursuivent leurs offensives malgré l’accord de cessez-le-feu signé par les parties prenantes.
Alors que le processus de Luanda peine à produire les résultats escomptés, les États-Unis et d’autres partenaires internationaux exhortent les parties à intensifier leurs efforts pour éviter une escalade et saisir l’opportunité de paix qui s’offre à la région.

L’ancien président de la RDC, Joseph Kabila, et l’ex-gouverneur Moïse Katumbi ont tenu une rencontre historique à Addis-Abeba pour aborder la crise multidimensionnelle qui frappe leur pays, la RDC.
Ensemble, ils ont exprimé leurs préoccupations face aux atteintes aux droits fondamentaux, telles que les arrestations de journalistes, activistes et opposants.
Ils ont plaidé pour l’unité des forces politiques et sociales afin de proposer une alternative crédible à la mauvaise gouvernance et au pillage des ressources nationales.
Ils ont qualifié cette initiative de menace grave pour la souveraineté et la démocratie, dénonçant un “plan diabolique” visant à consacrer la balkanisation du pays.
Elles ont fermement déclaré : “Pas de changement de Constitution, pas de troisième mandat”, en s’opposant à toute tentative de s’octroyer un pouvoir prolongé.