Un thon rouge japonais vendu près d’1,4 million USD aux enchères pour faire des sushis haut de gamme !

L’armée congolaise a annoncé la libération de trois otages retenus par les miliciens Mobondo dans le village de Kindongo, situé dans le territoire de Kenge, province du Kwango.
L’opération a eu lieu samedi, lors d’affrontements entre les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) et les miliciens.
Selon le porte-parole de la 11ᵉ région militaire, les miliciens avaient pillé des biens, notamment des chèvres, et utilisé les otages pour transporter leurs butins.
Nous restons déterminés à éradiquer le phénomène Mobondo dans toute la région », a déclaré le capitaine Mualushayi.
La semaine dernière, les FARDC ont rapporté avoir neutralisé au moins huit miliciens Mobondo dans des combats nocturnes au village Ibuka, dans le territoire de Popokabaka, toujours dans la province du Kwango.

Neuf (9) personnes sont mortes dans une nouvelle incursion des rebelles d’Allied democratic forces (ADF) à Tenambo, en secteur de Beni-Mbau, en territoire de Beni (Nord-Kivu), la nuit du mardi à ce mercredi 04 décembre 2024.
L’armée congolaise, à travers le porte-parole du secteur opérationnel Sokola I au Grand Nord-Kivu, a appelé la population à plus de vigilance.
“Nous présentons nos condoléances aux familles qui ont été touchées et qui ont perdu leurs membres.
La population doit s’abstenir d’aller en profondeur où l’ennemi est traqué ces derniers temps”, a exhorté le lieutenant-colonel Mak Hazukay, dans une note d’information qui a été relayée à la presse dans la région de Beni.
Face à cette nouvelle attaque meurtrière, des activités ont tourné au ralenti à Tenambo et environ.

Et pourtant, « l’espérance de vie régresse, la faim et la pauvreté gagnent du terrain, le M23 récupère des territoires plus vastes que ceux de 2012, la majorité de la population en âge de travailler est au chômage », égrène-t-il.
À propos de « la réflexion nationale sur une réforme constitutionnelle » évoquée par le président de la République dans les derniers instants de son allocution de 1 heure 40 minutes, Prince Epenge lance : « veuillez lui dire que le peuple Congolais a déjà réfléchi et pour lui, ce qui ne va pas, c’est Félix Tshisekedi et non la Constitution ».
« Les Congolais ont leur opinion assez claire là-dessus : c’est leur situation sociale qu’il faut changer et non la Constitution », ajoute-t-il.
Et de conclure : « la Constitution n’est pas l’œuvre des étrangers.
C’est l’œuvre des Congolais, par des Congolais et pour les Congolais ».