Lors de la cérémonie, le chef de l’État a suivi plusieurs exposés sur la situation actuelle de l’épidémie.
La létalité a également diminué, passant de 4,5 % à 2,2 % sur la même période.
Cependant, des efforts restent nécessaires pour perfectionner le diagnostic et réduire davantage les décès.
Le Mpox, identifié pour la première fois en 1970 à Basankusu, dans la province de l’Équateur, continue de sévir en RDC.
Transmise par contact animal-homme ou interhumain, cette maladie reste particulièrement présente dans les zones forestières du pays.
Author(s): actualite.cd
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