Appui aux FARDC : “Nous proposons que nous, députés, sénateurs, ministres et mandataires publics cédions mensuellement 10% de nos émoluments” (Steve Mbikayi)

Kinshasa le 15 janvier 2024 ( ACP)Le tribunal militaire de garnison de Kinshasa Gombe siégeant en procédure de flagrance, dans le cadre de l’opération Ndobo a auditionné mercredi deux bandits urbains communément appelé Kuluna, lors d’une audience tenue dans la maison communale de Kalamu , ( centre de Kinshasa), capitale de la République Démocratique du Congo.
Le prévenu Lukoki Nzeka Albert , entendu le premier par le tribunal, est poursuivi pour avoir blessé en complicité de ses amis , la victime Gabriel Manzambi à l’ aide d un couteau, a déclaré le capitaine Godefroid Bamusamba, officier du ministère public.
» Le ci devant prévenu monsieur le président, n’ est pas tombé comme un cheveu dans la soupe, il a un plaignant qui s’ appelle Gabriel Manzambi .
Il est poursuivi par l’ organe de la loi pour avoir ravi un téléphone d’ une demoiselle.
Le prévenu Kumbu Kwanzambi a, à son tour, rejeté les faits mis à sa charge, avant de clamer son innocence.

Le député provincial Jean Kimboko Ndombasi, élu de Muanda, (Kongo-Central) a lancé lundi 16 décembre un S.O.S en faveur des sinistrés des dernières pluies torrentielles dans la cité de Muanda.
Les sinistrés de cette catastrophe n’ont reçu jusqu’ici aucune assistance et continuent à passer la nuit à la belle étoile.
Il appelle le gouvernement à procéder d’abord au recensement des sinistrés afin de bien canaliser son assistance.
Il reconnait certes que les érosions de Kengeyaba sont maîtrisées par les Chinois de Mapping International grâce aux moyens débloquéspar le gouvernement central.
Le député dit avoir demandé au gouvernement provincial de recenser les sinistrés pour ensuite venir en aide aux familles qui vivent ce qu’il qualifie de désastre social.

La RDC enregistre des nombreuses victimes des séquelles graves des violations des droits humains et des conventions internationales humanitaires ratifiées par la nation congolaise.
Ces violations graves des droits humains sont documentées durant des nombreux conflits violents qui continuent d’endeuiller le pays depuis plus de 20 ans, surtout au Nord et Sud-Kivu et en Ituri.
Pour rétablir ces victimes dans leurs droits, la RDC s’est récemment engagée dans un nouveau processus de justice transitionnelle, en partie grâce au plaidoyer mené par la société civile congolaise depuis plusieurs années.
– Quel est l’état de lieux du processus de la justice transitionnelle en RDC ?
Me Lydie Akonkwa, chargée de projet Avenir juste répond.