Sud-Kivu : le Prix du carburant galope dans plusieurs localités du secteur de Ngandja/Fizi

Uvira, 04 Janvier 2025 (ACP).- Le prix du carburant vient de galoper dans plusieurs villages du secteur de Ngandja, territoire de Fizi, à l’Est de la République démocratique du Congo, a appris samedi l’ACP de source locale.
« C’est à cause de plusieurs facteurs que le prix du carburant a été revu à la hausse, notamment la dégradation très avancée de la route nationale numéro 5, le prix élevé de transport exigé par les propriétaires des engins (motos et véhicules) dans cette partie du territoire de Fizi.
Mais la raison majeure est la dégradation de la route nationale numéro 5 », a dit M. Prince Murhula, revendeur du carburant dans le village de Misisi.
Et cela, nous le constatons dans les villages tels que Lulimba, Misisi, Nyange, Lubichako, Tulonge et Ngalula, dans le secteur de Ngandja pendant qu’ailleurs ce n’est pas le cas», a-t-il poursuivi.
« Notre activité est devenue présentement un casse-tête, car le prix du carburant a sensiblement augmenté.

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L’opération a été supervisée par le ministre de la Justice et garde des sceaux, Constant Mutamba.
Comme je l’avais promis, je mettrai fin à ce phénomène », a déclaré le ministre devant les prisonniers.
Le ministre d’État a également adressé un message d’avertissement aux parents des jeunes impliqués dans le banditisme urbain.
Le vol affrété par le gouvernement n’a pas suffisamment de places.
Pour rappel, la police a arrêté près de 450 présumés Kuluna dans la seule nuit du 31 décembre 2024 au 1ᵉʳ janvier 2025 dans la ville de Kinshasa.

RDC: en 2024, les régies financières ont mobilisé plus de 25 milliards de CDF, soit une augmentation de 27% en CDF et de 19% en USD par rapport à l’année 2023

Dan un communiqué officiel datant du 31 décembre 2024 dont DESKECO.COM a exploité copie ce vendredi 3 janvier 2025, le ministre des Finances, Doudou Fwamba renseigne que les recettes intérieures réalisées au cours de la période du 1er janvier au 31 décembre 2024 s’élèvent de manière provisoire à 25.188,6 milliards de CDF.
Le document signé par M. Alain Malata Kafunda, directeur de cabinet du ministre des Finances, précise ce qui suit: “Ces recettes représentent un réalisation de 103,2% par rapport aux prévisions budgétaires annuelles qui se chiffraient à 24.407 milliards de CDF”.
À en croire le communiqué, ces recettes de 2024, “comparées à celles de l’année 2023 dont les recettes réalisées se situaient à 19.818,1 milliards de CDF pour les assignations budgétaires de 22.486,4 milliards de CDF (soit un taux de réalisation de 88%), il se dégage entre les deux exercices, une augmentation de 27% en CDF et de 19% en USD”.
Selon le ministre des Finances, ces recettes se répartissent de la manière suivante :-DGDA: 5.755 milliards CDF, soit 94% par rapport aux prévisions de 6.126 milliards CDF;- DGI: 15.113 milliards CDF, soit 108% par rapport aux prévisions de 14.016 milliards CDF;- DGRAD: 4.319 milliards CDF, soit 101% par rapport aux prévisions de 4.264 milliards CDF.
Ainsi, lit-on dans le communiqué, au nom de la Première ministre, Judith Suminwa, le ministre des Finances félicite les cadres et agents de toutes les régies financières pour les efforts fournis.

RDC : Un cadre d’Ensemble pour la République détenu au cachot de l’ANR à Lubumbashi

L’organisation Justicia Asbl a demandé ce samedi la libération immédiate de Jean Claude Ndala Muselwa, cadre du parti politique Ensemble pour la République de Moïse Katumbi, détenu au cachot de l’Agence nationale de renseignement (ANR) à Lubumbashi.
Cette requête fait suite à des accusations de répression visant les opposants politiques dans le contexte des débats autour d’une éventuelle modification de la Constitution en RDC.
Par ailleurs, le véhicule d’un autre membre du parti, Masudi Sudi Mbayo, aurait été confisqué par les agents de l’ANR.
Justicia Asbl appelle le directeur provincial de l’ANR/Haut Katanga à ordonner la libération immédiate de Jean Claude Ndala et à restituer le véhicule de Masudi Sudi Mbayo.
L’organisation insiste sur le respect des droits et libertés fondamentales, garanties par la Constitution congolaise, en particulier les libertés d’opinion et d’expression.

RDC : le fonds des réparations déterminé à poursuivre ses efforts pour les victimes

Kinshasa, 04 janvier 2025 (ACP).-Le fonds national des réparations des conflits en République démocratique du Congo (Fonarev) a réaffirmé sa détermination à poursuivre ses efforts en faveur des victimes pour garantir la justice pour cette nouvelle année 2025, selon son compte X consulté samedi par l’ACP.
» Pour cette nouvelle année 2025, nous réaffirmons aux victimes notre détermination à poursuivre nos efforts en votre faveur, pour garantir la réparation et la justice.
Selon cette même source, le Fonarev s’est engagé à ce que les victimes des conflits ne soient plus jamais seules, que leur honneur soit restauré et qu’elles reçoivent ceux qui leur sont dues.
A cet effet, les victimes, souvent anonymes et marginalisées, manquent de mécanismes adéquats pour accéder à la justice et obtenir réparation.
Face à cette situation et après plusieurs lobbying, le parlement a adopté le 26 décembre 2022 une loi portant création du Fonds National des Réparations des Victimes des Violences Sexuelles liés aux Conflits et des Victimes des Crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité,( FONAREV).

Corée du Sud : nouvelles manifestations dans la capitale

Dans le camp des partisans du président, la plus importante intersyndicale sud-coréenne (KCTU) avait entrepris une marche vers sa résidence, mais la police, qui fait état de plusieurs blessés et de deux arrestations, s’y est opposée.
Au Parlement, cerné par des soldats, un nombre suffisant de députés avait cependant réussi à se réunir pour voter une motion exigeant la levée de cet état d’exception.
Sous la pression de l’Assemblée, de milliers de manifestants et contraint par la Constitution, Yoon Suk Yeol avait dû l’abroger quelques heures après l’avoir déclaré.
L’impopulaire chef de l’Etat fait l’objet de plusieurs enquêtes, dont une pour rébellion, un crime théoriquement passible de la peine de mort.
La décision de la Cour constitutionnelle attendue d’ici à la mi-juin.

Burkina Faso : création de trois nouveaux bataillons d’intervention

Le président de la transition burkinabais, le capitaine Ibrahim Traoré a annoncé la création de trois nouveaux bataillons d’intervention rapide stationnés dans les régions de l’Est et du Sahel repousser les assauts des groupes armés, a appris samedi de source officielle citée par les médias internationaux.
« Les trois nouveaux bataillons d’intervention seront stationnés dans la région de l’Est et dans la région du Sahel.
Les deux premiers, les 26e et 27e bataillons, seront respectivement basés à Ougarou et à Diapaga, deux localités où les habitants qui vivent toujours sur place sont soumis à des rackets« , a rapporté la source.
Elles devront aussi assurer l’escorte des grands convois logistiques et participer à la lutte contre le grand banditisme aux côtés des forces de sécurité intérieure.
Dans son message du Nouvel An, le capitaine Ibrahim Traoré avait promis la création d’au moins cinq nouveaux bataillons d’intervention rapide au cours de l’année 2025 avec, pour objectif, la densification du champs de bataille pour reconquérir la « totalité » du territoire burkinabè.

Décès de Jimmy Carter : début de six jours de cérémonies aux Etats-Unis

Puis le corbillard arrivera au Carter Center, la fondation créée en 1982 par l’ancien président et son épouse Rosalynn Carter, décédée en 2023 à 96 ans.
De 19 heures samedi à 6 heures mardi, les Américains sont invités à se recueillir devant la dépouille de l’ancien président.
Sa dépouille sera ensuite exposée et le public, lui, est invité à venir lui rendre hommage de 19 heures à minuit mardi, puis de 7 heures mercredi à 7 heures jeudi.
Le président sortant, Joe Biden, 82 ans, prononcera l’éloge funèbre de celui dont il a célébré «la droiture».
Son successeur, le républicain Donald Trump, 78 ans, bien loin d’avoir les faveurs de Jimmy Carter, a annoncé sa présence.

Ituri : 48 cas d’accidents de circulation dont huit(8) morts enregistrés fin de l’année 2024

« Depuis le 24, donc à la veille de Noël jusqu’à aujourd’hui le 3 janvier 2025, nous avons enregistré 48 cas d’accidents dont 8 décès.
S’agissant des causes de ces accidents, il a expliqué qu’ils sont dus à l’ivresse en cette période festive, à l’excès de vitesse et à la poussière sur les routes.
« Qu’ils renforcent la sécurité routière ainsi que la sensibilisation sur le code de la route», a-t-il plaidé, appelant à cette occasion les jeunes à changer de comportement.
Ces statistiques ne sont que celles déclarées officiellement et dont les dossiers sont sur la table de la PCR.
Plusieurs sources rassurent que plusieurs autres accidents sont répertoriés à travers le territoire de Mahagi, souligne- t-on.

Al Kitenge : « l’Etat doit être le premier à appliquer le nouveau SMIG au profit de ses travailleurs »

Celui-ci passe de 7 075 francs congolais a C à 14 500 francs congolais, soit l’équivalent de 5 USD.
Mais selon l’analyste économique et stratège Al Kitenge, l’Etat doit être le premier à appliquer ce SMIG au profit de ses travailleurs » Et à se demander egalement les conditions du relèvement que ce SMIG pourrait bénéficier réellement aux travailleurs congolais.
«…Lorsque dans un pays, le SMIG est releve, comme c’est le cas en RDC, le premier employeur qui devra faire en sorte qu’il le respecte, c’est l’Etat lui-meme.
Mais malheureusement, il fait observer que « chez nous, une grande partie d’opérateurs économiques opèrent dans l’informel et parfois dérogent aux règles ».
Et ça, c’est le plus grand piège que nous devons être à mesure de relever, c’est-à-dire que nous devons, à un moment donné, nous assurer que notre consommation alimente notre production » argumente Al Kitenge.

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