Guerre du M23 : à Lubero, l’armée présente au mécanisme conjoint de vérification de nouvelles preuves de l’implication rwandaise

Quarante étudiants dont certains de la faculté de médecine ont été renvoyés de l’Université officielle de Mbuji-Mayi (Kasai-Oriental), lundi 23 décembre.
Le recteur de cette institution universitaire a décidé de les renvoyer après un contrôle interne des dossiers de scolarité de tous les étudiants.
La commission de contrôle instituée par l’Université officielle de Mbuji-Mayi (UOM ) a identifié ces quarante faux étudiants.
Des sources proches de l’UOM indiquent que le cursus universitaire de ces étudiants est entaché de quelques déclarations mensongères mais aussi de corruption.
Parmi ces étudiants, un se trouve en dernière année de médecine humaine alors qu’il n’a jamais réussi dans les promotions antérieures.

“Les FARDC s’engagent avec tous les moyens pour mettre un terme à cette agression qui dure depuis trois décennies.
“Cette victoire réaffirme notre engagement à défendre notre patrie et à rétablir la paix dans la région”.
À cette liste, Kayikwamba a ajouté l’Angola qui, pour la première fois, a désapprouvé en des termes durs, la prise de Masisi.
“Pas question de laisser la porte d’entrée à la manipulation”, a-t-il menacé.
Pour lui, le mixage et le brassage sont à oublier.

Un militaire des Forces armées de la RDC (FARDC) affecté à la sécurité de l’entreprise minière Yellow Stone, à capital chinois, a été présenté à la presse et à la population ce jeudi 5 décembre à Kamituga, après avoir été arrêté pour le meurtre d’un citoyen.
L’incident s’est produit le 3 décembre 2024 sur le site minier de Yellow Stone, à Lugushwa, où le militaire a ouvert le feu sur Alphonse Lupeta, un habitant local, entraînant sa mort sur le coup.
« Nous exigeons l’ouverture d’un procès contre ce militaire et ses complices chinois de la société minière Yellow Stone, illégalement installée à Lugushwa », déclare-t-il.
« Ce militaire a été présenté aujourd’hui à la population de Kamituga.
À l’Assemblée provinciale du Sud-Kivu, les députés ont observé une minute de silence en mémoire d’Alphonse Lupeta, tout en appelant à une justice exemplaire pour la victime.