Figure emblématique des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), Ndala avait été élevé à titre posthume au grade de général.
Ce jour-là, Mamadou Ndala et ses hommes se rendaient à Eringeti dans le cadre de préparatifs pour des opérations contre les rebelles ougandais des ADF.
L’attaque avait causé la mort de trois personnes, dont deux gardes du colonel, et fait cinq blessés.
Il avait été condamné à mort et à payer une amende de près de trois millions de dollars en dommages et intérêts.
Onze ans plus tard, la mort du colonel Ndala reste un sujet de controverse et un rappel des défis persistants en matière de sécurité et de gouvernance militaire en RDC.
Author(s): actualite.cd
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