A en croire Joseph Kakisingi, l’idée du projet initial était de prendre en charge les femmes déplacées et des filles.
Des femmes ayant la plupart subi des traumatismes et des viols.”
On faisait les soins chirurgicaux pour des femmes qui avaient des mutilations génitales, qui subissent les violences et toute autre forme de traumatisme et après un accompagnement psycho social pour les soins psychiatriques et psycho-cliniques.
Avec les exigences du COVID, les stratégies ont changé pour atteindre les femmes des coins les plus reculés.
SAD précise que pour être proche des victimes, l’organisation a procédé via des sites dans les villages et territoires de la province du Sud-Kivu.
Author(s): actualite.cd
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