Le plus grand site d’information en république démocratique du congo

Dans la nuit du 31 décembre 2024 au 1ᵉʳ janvier 2025, la police de Kinshasa a intensifié ses efforts de sécurité en organisant des opérations de bouclage dans plusieurs quartiers de la ville.
Ces actions, en plus des patrouilles de routine, ont conduit à l’arrestation de près de 450 membres de gangs, communément appelés Kuluna.
À la maison communale de Kintambo, une cinquantaine de délinquants a été présentée au vice-premier ministre, tandis qu’au commissariat du district de la Tshangu, plus de 200 Kuluna ont également été exhibés.
Accompagné du commissaire provincial de la police, Blaise Kilimbalimba, Jacquemin Shabani a terminé sa visite au commissariat urbain de Mont-Ngafula, dans le district de Lukunga, où plusieurs autres Kuluna sont incarcérés.
Le commissariat provincial de la police précise que ces opérations s’inscrivent dans le cadre de l’opération Ndobo (hameçon), lancée il y a quelques semaines.

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Dans la nuit du 31 décembre 2024 au 1ᵉʳ janvier 2025, la police de Kinshasa a intensifié ses efforts de sécurité en organisant des opérations de bouclage dans plusieurs quartiers de la ville.
Ces actions, en plus des patrouilles de routine, ont conduit à l’arrestation de près de 450 membres de gangs, communément appelés Kuluna.
À la maison communale de Kintambo, une cinquantaine de délinquants a été présentée au vice-premier ministre, tandis qu’au commissariat du district de la Tshangu, plus de 200 Kuluna ont également été exhibés.
Accompagné du commissaire provincial de la police, Blaise Kilimbalimba, Jacquemin Shabani a terminé sa visite au commissariat urbain de Mont-Ngafula, dans le district de Lukunga, où plusieurs autres Kuluna sont incarcérés.
Le commissariat provincial de la police précise que ces opérations s’inscrivent dans le cadre de l’opération Ndobo (hameçon), lancée il y a quelques semaines.

Le 2 janvier 2014 : ce jour-là, colonel Mamadou, “un homme déterminé et engagé”, était assassiné

Ce 2 janvier 2025, 11 ans sont passés depuis que colonel Mamadou Ndala, présenté comme un militaire déterminé, engagé et sincère, était assassiné.
Mamadou Ndala dirigeait les opérations militaires contre les rebelles ougandais des ADF et tous les autres groupes armés actifs dans la région de Beni.
L’un des tombeurs du M23 en 2013Colonel Mamadou Ndala commandait le 42e bataillon des commandos des Unités de réaction rapide des FARDC.
Il doit sa célébrité aux exploits de son unité dans les combats contre les M23.
Pour nombre des Congolais, Mamadou Ndala reste le héros de la victoire militaire sur le M23 à cette époque.

Foot à Mambasa : la démolition de la clôture du stade Tata Mirindi à la suite d’un match manqué

Certains spectateurs ont brûlé, mercredi 1e janvier, les filets de poteaux et démoli la clôture du stade Tata Mirindi à la suite d’un match de football manqué, à Mambasa (Ituri).
Cette rencontre était programmée dans le cadre du tournoi de football dit « Tournoi de la paix ».
Du côté du public, la tension est montée d’un cran.
A l’organisateur, qui n’a pas pu requestionner la police en amont, de reconstruire la clôture du stade, cette fois en matériaux durables ».
Aux dernières nouvelles, le président du Cercle de Football de Mambasa (CEFOMA) et le représentant de l’organisateur du tournoi ont été arrêtés par la police.

Deux enfants blessés après l’explosion d’un engin à Butembo

Deux enfants d’une dizaine d’années ont été grièvement blessés, mercredi 1er janvier, à la suite de l’explosion d’un engin, à Butembo (Nord-Kivu).
Selon des sources sur place qui citent des proches des victimes, ces deux victimes ont allumé le feu, faisant exploser eux-même l’engin.
Tous ces deux enfants ont été admis à une structure médicale de la place pour des soins d’urgence.
Interrogés sur leurs lits d’hôpital par nos confrères de la voix de l’UCG/Butembo, ces enfants ont fait savoir qu’il s’agissait d’une pièce métallique ramassée dans un garage à Butembo.
En avril 2023, une panique avait régné dans la cellule Saba, au quartier Kimbulu dans la commune de Bulengera à Butembo (Nord-Kivu) à la suite d’une alerte sur la présence d’un engin explosif dans cette partie de la ville.

Léopards : la RDC parmi « les dix sélections africaines qui ont marqué 2024 »

2025-01-022025-01-022025-01-022025-01-02Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/01-05/leopards_de_la_rdc_02_jan_2025.jpgAuteurs d’une année exceptionnelle en 2024, les Léopards ont remis la RDC sur la carte sportive continentale.
De quoi leur offrir une mention très honorable parmi « les dix sélections africaines qui ont marqué 2024 » selon un classement du journal Le Monde.
Pour Le Monde, la RDC « disputera la CAN marocaine et a désormais pour objectif de disputer la Coupe du monde 2026, une compétition que la RDC n’a disputée qu’en 1974 ».
De quoi nourrir de l’ambition pour les coéquipiers de Chancel Mbemba.
Selon le classement, la RDC figure parmi les dix nations ayant le plus impressionné en Afrique aux côtés de la Côte d’Ivoire, du Maroc, de l’Afrique du Sud ou encore du Nigeria.

RDC: pour avoir dénoncé l’inaction du gouvernement dans sa province, le gouverneur du Kasaï-Central convoqué à Kinshasa

Le gouverneur du Kasaï-Central, Joseph Moïse Kambulu, a récemment été sommé de se rendre à Kinshasa « pour consultation », selon un message officiel émanant du vice-premier ministre chargé de l’Intérieur, Shabani Lukoo Bihango.
Ce message, adressé aux autorités compétentes, souligne l’urgence d’une exécution immédiate, sans toutefois en préciser les motifs.
Cette convocation intervient dans un contexte de tensions croissantes, Kambulu étant au cœur d’une controverse suite à ses déclarations critiques concernant le manque d’investissements dans sa province.
En réponse, les partis membres de l’Union sacrée au Kasaï-Central ont exigé sa démission immédiate, l’accusant de « propos inappropriés et malveillants » envers le gouvernement central et le président Félix Tshisekedi.
Cependant, malgré les critiques, certains acteurs de la société civile et des figures éminentes, comme l’archevêque de Kananga, Monseigneur Félicien Ntambwe, ont salué les réalisations du président dans la province.

Sud-Kivu : Plus de 74.000 déplacés enregistrés après les affrontements entre l’armée et une coalition rebelle près de Minembwe

Environ 74.300 déplacés internes ont été identifiés dans les villages environnants la localité de Minembwe en territoire de Fizi au Sud-Kivu.
Ceci depuis le 25 décembre dernier suite aux affrontements entre les forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) et une coalition rebelle.
L’information est confirmée par Sammy Kalondji, administrateur du territoire de Fizi, dans une adresse à la presse le 30 décembre 2024.
A l’en croire, les combats se sont intensifiés et plusieurs déplacés sont actuellement sans assistance.
Plusieurs déplacés passent la nuit à la belle étoile et sont dépourvus de tout », a-t-il expliqué.

Kasaï : l’Assemblée provinciale favorable au changement de la Constitution

L’Assemblée provinciale du Kasaï accepte l’idée du changement de la Constitution de la République démocratique du Congo.
C’est le président de cet organe délibérant qui l’a dit dans son discours de clôture de la session de septembre 2024.
“Au non des élus provinciaux du Kasaï, je témoigne haut et fort notre soutien tous azimuts au magistrat suprême et garant de la nation en disant oui au changement de la Constitution, ainsi, je lance un appel à la population kasaienne de s’approprier cette initiative jusqu’à son aboutissement”, a déclaré le président de l’Assemblée provinciale du Kasaï, Alain Tshisungu.
Il convient de noter que le chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a annoncé la mise en place d’une commission des experts qui vont réfléchir sur le changement ou révision de la loi fondamentale de la République démocratique du Congo.
Fabien Ngueshe, à Tshikapa

Tshopo : la société civile contre l’exploitation “illégale” des minerais par des entreprises étrangères à Bafwasende

La coordination territoriale de la société civile de Bafwasende (Tshopo) monte au créneau pour dénoncer l’exploitation “illégale” des minerais par des entreprises semi-industrielles, soutenues par des étrangers, notamment à Bavadili.
À 7SUR7.CD, François Bangwabedi Mustafa, répondant de cette structure citoyenne, a précisé que ces entreprises étrangères ne respectent pas les procédures établis par la loi sur l’exploitation minière.
Il s’agit, par exemple, du non-respect des cahiers de charges, d’indemnisations coutumières et la non-conformité avec l’État congolais avant le début des travaux.
La société civile estime, cependant, que cette exploitation illégale des minérais constitue un manque à gagner, non seulement pour la province de la Tshopo, mais surtout pour la République démocratique du Congo.
Outre l’exploitation illicite des minerais, la société civile locale affirme que ces exploitants utilisent des machines sophistiquées, des robots, drogues.

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