Kwilu : l’élection du bureau définitif de l’Assemblée provinciale du Kwilu conditionnée par l’élaboration du calendrier des élections gouvernorales (Ceni)

Dans cette version revisitée, renseigne-t-il, la pièce explore avec intensité la rencontre entre théâtre, danse et mystère, offrant au public un spectacle captivant et une réflexion poignante sur l’amour et la vocation artistique, portée par une scénographie immersive.
Initialement conçue comme un monologue, la pièce met en scène un comédien qui se confie au public sur une histoire d’amour passée.
« Face à ce personnage silencieux, j’ai voulu donner une voix, une présence réelle sur scène, pour enrichir le dialogue et l’émotion », a-t-il précisé.
Mêlant théâtre, danse et réalité fictionnelle, cette pièce met en lumière la fragilité et la passion qui définissent le métier d’artiste.
« Jamais Avant » adaptée par le Congolais Jules Mbuya, trouve ses racines dans une œuvre française transformée en une fresque multidisciplinaire grâce à la collaboration de la compagnie « Clasas » et de l’Institut français de Lubumbashi.

2024-12-222024-12-222024-12-222024-12-22Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/16-22/a_damas_le_chef_de_la_diplomatie_turque_rejette_tout_role_pour_les_kurdes_en_syrie.jpgLe nouvel homme fort de la Syrie, Ahmad al-Chareh, a reçu dimanche 22 décembre le chef de la diplomatie turque, deux semaines après la chute du pouvoir de Bachar el-Assad.
« La victoire » appartient aux Syriens et à « personne d’autre »La « victoire » de la chute du président syrien Bachar el-Assad appartient aux Syriens et à « personne d’autre », a affirmé le chef de la diplomatie turque.
Grâce à vos sacrifices, la Syrie a saisi une opportunité historique », a-t-il déclaré lors de conférence de presse conjointe avec le nouveau dirigeant de la Syrie, à Damas.
Il a par ailleurs appelé la communauté internationale à lever sans délai les sanctions imposées à la Syrie à l’époque de Bachar el-Assad pour permettre la reconstruction du pays.
Des diplomates de différents pays, dont les États-Unis et la France, sont depuis allés à Damas pour rencontrer les nouvelles autorités.

Moi, je reste convaincu que le président de la République a effectivement gagné les élections de 2018 ».
C’est pour ça que dans ce troisième chapitre, j’aborde la question du changement de la gestion de l’État », a-t-il indiqué.
Et de renchérir :« Ils nous ont montré qu’ils n’étaient peut-être pas aussi instruits que nous, mais qu’ils ne se trompaient pas.
« J’essaie de donner, à travers cet ouvrage, des raisons à l’opinion publique de faire confiance à l’homme qui nous dirige, parce que pour l’instant, on n’a pas d’alternative.
De toute façon, c’est lui qui nous doit nous faire gagner cette guerre, nous devons nous mettre en ordre de bataille.