La RDC ambitionne de produire 3 millions de tonnes de cacao d’ici 2030

Elle dénonce avec véhémence la recrudescence des conflits de pouvoir coutumier qui engendre beaucoup de conséquences dans la vie des communautés locales.
“Ces conflits ouverts sont actuellement dans les groupements qui sont dans quatre secteurs : Lozo, Kilembe, Ngudi et Gungu.
Cette situation engendre des bagarres à l’arme blanche”, témoigne Joachim Kusamba, président de la société civile du territoire de Gungu.
“Lorsque la province, le territoire ou la commission consultative des pouvoirs coutumiers intervient en faveur d’un des chefs à partir des documents qu’ils émettent cela jette de l’essence au feu”, explique Kusamba.
La société civile du territoire de Gungu invite le ministre de l’Intérieur, décentralisation et affaires coutumières à prendre ses responsabilités en mains en vérifiant convenablement l’authenticité de chaque chef coutumier avant de le reconnaître officiellement.

2025-01-142025-01-142025-01-142025-01-14Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/13-19/kinshasa_le_mur_d_un_voisin_s_ecroule_et_emporte_quatre_membres_d_une_meme_famille_a_ngaliema.jpgUne nuit de pluie torrentielle a plongé la ville de Kinshasa dans le deuil, causant la mort de quatre personnes et blessant grièvement une autre dans le quartier Musey, avenue Lokumu, numéro 51, dans la commune de Ngaliema.
Les survivants de cette tragédie racontent que le mur, construit en matériaux durables, n’a pas pu résister à la puissance de l’eau de pluie et s’est effondré soudainement, sans prévenir.
Les rescapés pointent du doigt la mauvaise construction du mur, affirmant que les maçons n’avaient pas bien fait leur travail.
Le propriétaire de la parcelle dont le mur a causé cet incident tragique est en fuite, et la police est sur les lieux pour constater les faits.
Les pleurs et les lamentations résonnent dans le quartier, alors que les voisins et les proches tentent de consoler les familles endeuillées.

L’ancien ministre de la Défense nationale répondait à une question orale avec débat lui adressée par le sénateur Michel Lingepo autour de la cartographie de la RDC.
« La cartographie de la RDC existe puisque l’IGC produit et dispose, à ce jour, six types de cartes à savoir : la carte politico-administrative des 145 territoires ; la carte de toutes les tribus de la RDC ; la carte hydrographique ; la carte de la faune et de la flore ; la carte de la ville de Kinshasa.
Par ailleurs, le ministre a dementi les rumeurs selon lesquelles la guerre de 1997 aurait occasionné la disparition de la cartographie de la RDC.
« Non, contrairement à ce qui se raconte sur les réseaux sociaux, toutes les cartes mères, notamment les matrices des cartes de toutes les provinces, les territoires, chefferies, secteurs, de la RDC élaborées par les Belges à l’époque coloniale existent encore à I’IGC», a-t-il rassuré.
Par contre, Gilbert Kabanda insiste sur le fait que ces cartes-là aussi demandent à être urgemment protégées sous format numérique.