Ces soldats au front « devraient être payés plus que nos politiciens », plaide le musicien Moïse Rumia

2025-01-062025-01-062025-01-062025-01-06Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/06-12/jules_banza_mwilambwe_chef_etat_major_fardc_06_jan_2025.jpgNommé en décembre dernier, le nouveau chef d’État-major général des Forces armées de la République démocratique du Congo (Fardc), Jules Banza Mwilambwe, entre en fonction ce lundi 06 janvier 2025.
Une cérémonie de passation de commandement entre lui et son prédécesseur, le chef d’État-major général sortant Christian Tshiwewe, est prévu au camp Lieutenant colonel Kokolo, en présence du Président de la République FélixTshisekedi.
Le changement opéré par le chef de l’État à la tête des forces armées intervient dans un contexte où des nouvelles offensives des rebelles du M23 sont signalés dans la province du Nord-Kivu.
Le lieutenant-général Jules Banza occupait peu avant sa nomination le poste de chef-adjoint de la Maison militaire du chef de l’État, en tant que responsable des opérations et des renseignements.

« Nous avons rétabli tous les programmes opérationnels de l’aéroport, de la sécurité et les plans d’urgence.
Des panneaux « Départ » et « Arrivée » en arabe et en français, des halls presque ordinaires.
Avant la guerre, en 2011, l’aéroport était desservi par plus de 30 compagnies aériennes, reliant Damas à des dizaines de destinations en Europe, au Moyen-Orient, en Afrique du Nord et en Asie du Sud.
Des avions d’aide internationale ont déjà atterri en Syrie et les vols domestiques ont également repris.
Le directeur de l’aéroport promet que toutes les infrastructures étaient prêtes pour accueillir des vols internationaux, au-delà du Golfe, notamment en direction de l’Europe et des États-Unis.

« Il est indéniable de noter que le pavage à base de pierres taillées des laves volcanique a transformé considérablement les artères de la ville de Goma.
Grâce à cette activité, mes collègues et moi avons trouvé une alternative constructive à l’inactivité », a-t-il ajouté.
Cependant, ce paveur expérimenté n’a pas manqué de dénoncer les lacunes dans la prise en charge des travailleurs.
Jonathan a plaidé pour la mise en place de mécanismes de protection sociale pour les paveurs, notamment l’intégration d’une part destinée aux soins médicaux dans leur rémunération ou la création d’une mutuelle pour les travailleurs.
Une telle mesure serait un soutien vital et une reconnaissance de nos efforts », a-t-il conclu.