Vaccination : non, les Congolais ne sont pas des utilisés comme cobayes

2024-12-052024-12-052024-12-052024-12-05Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/02-08/prison_militaire_angenga_24.jpgLa campagne de vaccination contre l’épidémie du Monkey Pox ou variole de singe a débuté ce mercredi 04 décembre 2024 à la prison centrale d’Angenga à Gemena, chef-lieu de la province du Sud-Ubangi, où trois cas confirmés ont été détectés, d’après le médecin chef d’antenne du Programme élargi de vaccination (PEV), docteur Christian Etoza.
Actuellement, les données sur le mpox font état de plus de 3000 cas suspects et plus 40 décès depuis la déclaration officielle de cette épidémie le 14 août 2024 dans la province.

En ce qui concerne les infrastructures sanitaires, KMS a inauguré des toilettes publiques modernes à Mikuba, destinées à améliorer les conditions d’hygiène pour environ 2000 habitants.
Ces installations marquent une étape importante pour le bien-être de la communauté », a affirmé Monsieur Qian.
Monsieur Francis Kalongo, Administrateur du Territoire de Kambove, a salué ces efforts en ces termes : « Les projets réalisés par KMS en 2024 ont transformé concrètement la vie des habitants.
En partenariat avec la Gécamines et la China Nonferrous Metal Mining Group (CNMC), KMS continue de promouvoir les principes de « consultation mutuelle, construction conjointe, partage commun et coopération gagnant-gagnant ».
La Société a réaffirmé son engagement à œuvrer pour le bien-être des populations locales et à bâtir un avenir prospère pour tous.

2024-12-232024-12-232024-12-232024-12-23Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/23-29/le_mali_le_niger_et_le_burkina_rejettent_le_delai_de_retractation_22_dec_2024.jpgLe Mali, le Niger et le Burkina Faso ont rejeté dimanche le délai de six mois préalable à leur retrait définitif de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cédéao).
Mais selon le collège des chefs d’État de la confédération des États du Sahel, cette décision n’est “qu’une énième tentative qui permettrait à la junte française et à ses supplétifs de poursuivre la planification et la conduite des actions de déstabilisation contre l’AES”.
Les présidents du Sénégal et du Togo jouent le rôle de médiateur pour tenter de ramener les trois pays au sein de la Cédéao.
Le Mali, le Niger et le Burkina Faso, qui ont chassé l’armée française de leur sol, coopèrent pour contenir les attaques récurrentes des groupes jihadistes, en même temps qu’ils se rapprochent militairement et politiquement d’autres puissances comme la Russie.
Leurs responsables politiques se livrent régulièrement à de violentes diatribes contre la France, qu’ils accusent de vouloir porter “un coup d’arrêt à la dynamique émancipatrice enclenchée par l’AES”.