Day: December 28, 2024

Le Chef de l’État Félix Tshisekedi a présidé vendredi 27 décembre depuis la ville de Mbuji-Mayi, (Kasaï-Oriental) où il séjourne, la 28ème réunion du Conseil des ministres.
Au cours de ce Conseil, plusieurs dossiers importants ont été traités notamment la situation sécuritaire, humanitaire et sanitaire sur l’ensemble de la RDC, en particulier dans l’Est.
Autre point à l’ordre du jour, la question de l’organisation dans la capitale congolaise du 27 au 29 janvier 2025, de la conférence interministérielle internationale sur le déploiement des paiements pour des services environnementaux en Afrique centrale et sur les changements opérés dans la loi des finances de l’exercice 2025, après son examen et vote au Parlement.
L’état d’avancement de la mise en œuvre du plan de relance de la Sotexki et la signature, le 11 décembre 2024 à Bruxelles, de la feuille de route du partenariat stratégique UE-RDC sur les chaînes de valeurs des substances minérales stratégiques et critiques ont également été évoqués pendant cette réunion.

Plusieurs denrées de première nécessité notamment le poisson chinchard, le poulet surgelé, des saucisses, des cuisses de poulet à rôtir, des tripes, des croupions et autres, sont devenus rares et ont haussé de prix dans différents marchés de la ville de Matadi, au Congo-Central.
Selon des sources locales, en quelques semaines, le prix d’un carton de poulet de 11 kg est passé de 74 000 francs congolais (26 USD) à 95 000 francs, (33 USD) au grand désarroi de la population.
Des sources proches des entreprises qui importent les produits surgelés attribuent cette situation à la baisse des commandes qu’elles passent dans les pays où ces denrées sont vendues, principalement en raison de la surtaxation.
Mais les importateurs des produits surgelés, notamment Socimex, annonce que des bateaux transportant certains produits pourraient être déchargés ce samedi 28 décembre au port de Matadi, rendant ainsi les produits accessibles.

2024-12-282024-12-282024-12-282024-12-28Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/23-29/goita_a_samedi_28_dec_2024.jpgLes noms français sont remplacés par ceux de figures historiques nationales ou africainesLes autorités de la transition malienne ont décidé de remplacer les noms des avenues et des places héritées de la colonisation française et de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) par des noms de figures historiques nationales et africaines.
C’est ce qui ressort d’un décret présidentiel en date du 13 décembre courant qui a officialisé le changement de nom de nombreuses voies, places et établissements publics à Bamako.
Cette initiative vise, selon les autorités de la transition, à honorer des figures nationales et africaines et à marquer une nouvelle ère.
Ainsi, l’avenue CEDEAO devient l’avenue de l’AES (Alliance des États du Sahel), la place du sommet Afrique-France est rebaptisée place de la Confédération des États du Sahel.
Plusieurs autres boulevards, avenues et rues portant des noms hérités de la colonisation française se sont vu changer de nom.

Elle commencera par le tirage au sort de la CAN au Maroc qui aura lieu le 27 janvier à Rabat.
Le match d’ouverture se jouera le dimanche 30 mars 2025, la finale est prévue pour le samedi 19 avril.
En ce qui concerne la Ligue des champions, la finale aller est programmée le 24 mai et le retour aura lieu le 1ᵉʳ juin.
Pour la Ligue des champions féminine, le match d’ouverture aura lieu le samedi 8 novembre 2025 et la finale se jouera le dimanche 23 novembre.
Le 21 décembre marquera le coup d’envoi, tandis que la finale aura lieu le 18 janvier 2026.

Le Chef de l’État Félix Tshisekedi a présidé vendredi 27 décembre depuis la ville de Mbuji-Mayi, (Kasaï-Oriental) où il séjourne, la 28ème réunion du Conseil des ministres.
Au cours de ce Conseil, plusieurs dossiers importants ont été traités notamment la situation sécuritaire, humanitaire et sanitaire sur l’ensemble de la RDC, en particulier dans l’Est.
Autre point à l’ordre du jour, la question de l’organisation dans la capitale congolaise du 27 au 29 janvier 2025, de la conférence interministérielle internationale sur le déploiement des paiements pour des services environnementaux en Afrique centrale et sur les changements opérés dans la loi des finances de l’exercice 2025, après son examen et vote au Parlement.
L’état d’avancement de la mise en œuvre du plan de relance de la Sotexki et la signature, le 11 décembre 2024 à Bruxelles, de la feuille de route du partenariat stratégique UE-RDC sur les chaînes de valeurs des substances minérales stratégiques et critiques ont également été évoqués pendant cette réunion.

Durant ces deux (2) jours de la table ronde sur l’intégration des principes volontaires dans le cursus de formation des policiers en RDC, les participants vont intégrer les notions essentielles sur la sécurité et les droits de l’homme.
Selon le coordonnateur de Justicia Asbl, Timothée Mbuya, l’objectif de ces assises est d’évaluer le rôle des acteurs commis à la sécurité des sites miniers et des hydrocarbures.
«L’objectif général de cet atelier est d’intégrer les notions des principes volontaires sur la sécurité et les droits de l’homme dans le cursus de formation des policiers.
Cette table ronde est un grand apport pour le renforcement des capacités des experts techniques de la police nationale », a-t-il indiqué.
Au mois de novembre 2024, la RDC avait validé son plan d’action national concernant la mise en œuvre des principes volontaires sur la sécurité et les droits de l’homme.

Malheureusement, son rêve s’est heurté à la cruauté des passeurs, qui l’ont escroquée de 1500 euros, et à l’échec de ses tentatives.
Je me suis dit que je ne pouvais pas rentrer au pays avec un enfant dans les bras alors que je devrais rapporter un diplôme.
Pour la deuxième tentative, il y avait tellement de monde que je n’ai pas pu embarquer, car nous étions trop nombreux.
Trecy : À mon arrivée à Kinshasa, l’OIM m’a demandé de soumettre un projet que je pouvais réaliser pour devenir autonome.
Vu le désespoir dans lequel j’étais, franchement, je ne croyais pas que je pouvais m’épanouir de nouveau.

Au total, 86 détenus, dont une femme, ont été libérés vendredi 27 décembre de la prison centrale de Bunia (Ituri), en application d’un arrêté du ministre de la Justice.
Ces détenus étaient poursuivis pour des faits bénins dont les vols simples ou qualifiés et l’escroquerie.
D’autres leurs dossiers étaient en instruction en attendant que les juges se prononcent sur leur sort.
Il affirme tirer les leçons de ces moments difficiles passés à la prison.
Le directeur de la prison centrale, colonel Camille Zonzi, indique que cette mesure ministérielle permet de désengorger la prison qui héberge actuellement plus de 2200 détenus.