Day: December 27, 2024

2024-12-272024-12-272024-12-272024-12-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/23-29/Fulgence_Muteba_mgr_sur_KTO_24.pngIntervenant ce jeudi 26 décembre 2024 sur la chaîne catholique française KTO, Mgr Fulgence Muteba, président de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO), a qualifié de “suicidaire” l’initiative du président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, visant à réviser la Constitution.
Selon lui, cette réforme menace gravement l’unité du pays et pourrait conduire à sa balkanisation.
Le 11 décembre dernier, la CENCO, qui s’oppose fermement à cette initiative, avait déjà exhorté les experts et chercheurs à mener une réflexion approfondie sur la question de la révision constitutionnelle, une démarche qui divise profondément les acteurs politiques et sociaux du pays.
Lors d’un meeting à Kananga, le chef de l’État avait annoncé la création d’une commission chargée de réfléchir à la révision ou à la modification de la Constitution.
Pendant ce temps, l’opposition continue de se mobiliser activement pour empêcher cette révision constitutionnelle.

La descente des ministres Mutamba et Munana sur la parcelle en compagnie des représentants de Best Building Company est perçue comme “une tentative d’influencer les procédures judiciaires”.
“Ces actions violent clairement l’article 149 de la Constitution, qui consacre l’indépendance de la justice”, ont dénoncé les avocats de Patient Musaka.
Appel au président de la RépubliqueFace à cette situation d’ingérence des ministres Constant Mutamba et Munana, les avocats de Patient Musaka Bahati appellent le président de la République, Félix Tshisekedi Tshilombo, à rappeler à l’ordre les ministres concernés.
Ils ont aussi exhorté au respect strict des lois en vigueur et des décisions judiciaires rendues afin de garantir la justice et de préserver la crédibilité des institutions de la République.
Ce cas est désormais perçu comme un baromètre pour mesurer l’engagement du gouvernement envers l’État de droit et la justice sociale en République démocratique du Congo.

Au cours de son meeting tenu à Mbuji-Mayi, chef-lieu de la province du Kasaï-Oriental, le 26 décembre 2024, le chef de l’État congolais est de nouveau revenu sur la question de la révision de la Constitution.
Devant différentes couches de la population locale réunies à la grande place Saint Jean-Baptiste de Bonzola, le président de la République a indiqué que l’actuelle Constitution ne facilite pas la bonne gestion du pays.
“La voix du peuple, c’est la voix du peuple.
Ce que dit le souverain, c’est ce que je ferais”, a poursuivi brièvement le chef de l’État sous les acclamations de la foule réunie à la grande place Saint Jean-Baptiste de Convola.
Il convient de noter que la ville de Mbuji-Mayi est la deuxième étape de cette tournée dans l’espace Kasaï, après la ville de Kananga, chef-lieu de la province du Kasaï-Central.

La Communauté des assemblées chrétiennes Voici l’homme (CAC – VH) invite la population à un réveillon, ce mardi 31 décembre 2024, en la Place de l’Échangeur de Kinshasa, en République démocratique du Congo.
S’agissant de la Sainte-Cène, le pasteur Francois Mutombo a indiqué qu’elle constitue un devoir sacré pour tout chrétien.
« Parmi les devoirs sacrés, Jesus a dit : chaque fois que vous mangez ce pain, vous buvez de la coupe , vous célébrez ma mort jusqu’à ce que je reviennes.
Donc, c’est-à-dire la Sainte-Cène , c’est parmi les recommandations de Jesus que l’église est sensée observer à la lettre , surtout que ça touche à la doctrine.
La Sainte-Cène, ça déclenche beaucoup de choses : la délivrance , la guérison , la maternité , le mariage , etc .

Les jeunes femmes du renouveau charismatique de la paroisse Nodasa ont célébré Noël avec des patients des cliniques universitaires de Kinshasa, du CNPP et du centre hospitalier Mont Amba.
Munies de biens de première nécessité, tels que du sucre, du savon, des couches, du riz, semoule, des haricots… elles ont sillonné les couloirs de ces hôpitaux à la rencontre des malades.
Au-delà des dons matériels, ce fut un moment de partage et de réconfort que les jeunes femmes ont offert aux patients.
En priant à leurs côtés et en leur adressant des mots d’encouragement, elles ont contribué à créer une atmosphère chaleureuse et apaisante.
Ça m’a fait penser à la vie et m’a fait apprécier tout ce qui nous entoure.