Les abeilles des chefs coutumiers à la base du blocage de la finalisation de la centrale de Katende : “Il n’y a pas un effort de développement qui doit être consenti dans une partie du pays sans impli

Le Syndicat national des médecins de la RDC a suspendu la grève déclenchée depuis le mois d’octobre 2024.
Dans une déclaration faite ce mardi 14 janvier, le Synamed annonce la reprise de travail pour ce mercredi 15 janvier dans tous les établissements sanitaires affiliés.
Le secrétaire général du Synamed justifie cette prise de position par la concrétisation des engagements pris par le gouvernement qui a payé les trois mois d’arriérés de salaire, aligné à la prime 1034 médecins, et payé les frais de transport.
Dès mercredi 15 janvier 2025, les médecins membres du Synamed Asbl et les sympathisants sont invités à reprendre leurs activités professionnelles à partir de 7h30 “, a déclaré John Senga Lwamba, secrétaire général national du Synamed.
Par ailleurs, le Synamed appelle d’autres syndicats du secteur de la santé à suspendre le mouvement de grève en vue de valoriser la profession et sa place dans la société.

2024-12-092024-12-092024-12-092024-12-09Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/tete_a_tete_fayulu_et_katumbi_07_dec_2024.jpgMartin Fayulu Madidi et Moïse Katumbi Chapwe se sont retrouvés à deux à Bruxelles, plus précisément à Genval dans la commune de Rixensart dans la Région wallonne à Brabant Wallon.
L’unité recherchée de l’opposition reste hypothétique, au regard des attitudes dans le récent passé de ces deux personnes.
Le président de l’Engagement pour la citoyenneté et le développement (Ecidé) et le Chairman de l’Ensemble pour la République n’ont jamais tissé des rapports qui aboutissent.
Quand il fallait trouver un candidat unique de l’opposition pour les élections de 2023, ils se sont repoussés.
Est- ce possible de contrer les idées sur la Constitution présentées par celui qui les a battus et se trouve au début de son mandat ?

De ce fait, Bemba appelle les Kinois à s’habituer aux embouteillages qui sont, selon lui, un phénomène normal.
“Les embouteillages ne sont pas seulement à Kinshasa, mais partout dans le monde.
Donc, je demande aux Kinois de ne pas considérer cela comme étrange, ils doivent s’habituer à vivre avec cela “, a affirmé Jean-Pierre Bemba, citant d’autres villes comme Paris, Caire, Abidjan où les embouteillages monstres sont aussi remarquables.
À Kinshasa, les habitants passent désormais beaucoup d’heures dans les embouteillages que dans les lieux de travail, problème dû notamment au manque d’infrastructures routières adéquates pouvant fluidifier la circulation.
Le chef de l’État est descendu sur terrain au niveau du Rond-point Magasin à Ngaliema pour en faire le constat.