Day: December 25, 2024

Mais avec le maïs blanc, j’ai pu scolariser mes enfants et bâtir cette maison », témoigne-t-il.
Le maïs blanc, une semence introduite par Dokas et soutenue par le PSFD, a transformé la dynamique agricole locale.
Ce modèle associe cultures vivrières, comme le maïs, et cultures pérennes, telles que le cacao, pour générer des revenus immédiats tout en préparant une production à long terme.
Dominique Kasimba, fondateur de Dokas, prévoit d’étendre les surfaces agricoles à 1 000 hectares pour augmenter la production de maïs et de cacao.
L’association du maïs avec le cacao et d’autres cultures pérennes illustre une réponse efficace aux défis environnementaux et économiques de la région.

L’ancien candidat à la présidence de la République Denis Mukwege Mukengere juge “inopportun” le débat sur la révision ou le changement de la Constitution initié par le Chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi dans un contexte où l’intégrité du territoire national et la survie de la nation sont menacées par la guerre d’agression rwandaise via la rébellion du M23.
“La mauvaise gouvernance et les horreurs actuelles ne peuvent plus se poursuivre.
Pour l’histoire et pour notre destin commun en tant que nation, nous sommes tenus de nous rassembler et de nous mobiliser pour défendre notre précieuse Constitution.
Elle porte en elle l’empreinte de nos luttes et de nos rêves”, a soutenu le Prix Nobel de la paix.
Le débat autour de la révision ou du changement de la Constitution continue de diviser la classe sociopolitique congolaise.

À Kananga, chef-lieu de la province du Kasaï Central, où il séjourne depuis ce mardi 24 décembre 2024, Félix Tshisekedi est revenu sur la question relative à la révision ou au changement de la Constitution.
“L’affaire relative à la Constitution vous concerne en tant que peuple congolais, en tant que souverain primaire.
Il n’y a personne qui viendra nous interdire parce que c’est grâce à vous que nous sommes là où nous sommes.
Félix Tshisekedi a rassuré quant à la mise en place d’une commission multidisciplinaire censée réfléchir sur l’avenir de la Constitution.
Le débat autour de la révision ou du changement de la Constitution continue de diviser la classe sociopolitique congolaise.

Parmi eux, un rapport publié en avril 2024, intitulé “Minerais de sang : Le blanchiment des 3T de la RDC par le Rwanda et des entités privées”.
La RDC souligne que la France et la Belgique disposent de lois strictes en matière de blanchiment, de crimes de guerre et de pratiques commerciales trompeuses.
Les avocats de la RDC rappellent également la responsabilité coloniale de la Belgique et insistent sur la nécessité d’examiner les pratiques actuelles de pillage des ressources naturelles.
Les avocats espèrent par ailleurs élargir le débat en saisissant la Commission européenne, afin de renforcer la traçabilité des minerais et la responsabilité des entreprises dans l’Union européenne.
La firme affirme avoir demandé à ses fournisseurs de suspendre tout approvisionnement en minerais provenant de la RDC et du Rwanda dès la détérioration de la situation sécuritaire.

Le secteur du diamant en RDC continue de jouer un rôle central dans les exportations minières du pays, avec une production totale combinée (industrielle et artisanale) de 2 298 683,09 carats au premier trimestre 2024, selon les données officielles du ministère des Mines.
L’exploitation industrielle, dominée par la Minière de Bakwanga (MIBA) et la Société Anhui-Congo d’Investissement Minier (SACIM), se concentre principalement dans la province du Kasaï-Oriental.
Ces deux sociétés ont produit respectivement 29 684,07 carats et 642 834,44 carats sur les trois premiers mois de l’année.
En parallèle, l’exploitation artisanale, largement présente dans des provinces comme le Kasaï, le Kasaï-Central, et le Maniema, a permis d’exporter 1 626 164,54 carats via des comptoirs tels qu’Amazona, Malabar, Miabi, et Saga, générant des revenus de 13 532 969,79 USD.
Les exportations totales de diamant, incluant les diamants industriels et gemmes, ont atteint 1 970 188,55 carats, avec des destinations majeures comme la Belgique (890 005,74 carats) et les Émirats arabes unis (1 017 101,71 carats).

«La Grande Orientale a eu à perdre un grand notable, l’ancien gouverneur Médard Autsai Asenga.
La même délégation s’est dirigée le même jour à l’Assemblée nationale pour la même mission.
Le Président de la République a financé une grande partie de tous les frais funéraires.
Tout s’est passé dans les meilleures conditions sans incidents, dans le calme et sous un temps radieux.
Avant les funérailles d’Aru, la Dépouillé mortelle de Autsai Asenga Médard avait reçue des hommages tour à tour à Kinshasa au Palais du Peuple, à Kisangani au niveau du gouvernorat et à Bunia au Stade.