Day: December 24, 2024

La coordination de l’Ensemble pour la République ville de Lubumbashi dit avoir été victime de la brutalité des services de sécurité, samedi 21 décembre, à l’issue d’une activité commémorative de 5 ans d’existence du parti à Lubumbashi.
Dans une note, elle alerte sur l’enlèvement d’un des ses camarades (Ndala Muselwa Jean-Claude), conduit à l’Agence nationale des renseignements (ANR) où il est « gardé au secret sans contact de ses membres de la famille ni de ses avocats et, ce, en violation flagrante de l’article 17 de la constitution ».
Signalant l’emportement de la voiture du camarade Amisi Sudi Mbayo, Ensemble pour la République « condamne avec la dernière énergie ces actes barbares qui violent clairement le prescrit des articles 8, 17 et 23 de notre constitution », peut-on lire dans ce document parvenu à ACTUALITÉ.CD.
Le parti de l’opposant Katumbi interpelle les autorités sur ce qu’il qualifie de comportement indigne de certains agents de services dont le travail consiste à sécuriser et protéger les Congolais.
Il exige enfin la libération de Ndala Muselwa et la restitution de la voiture à son propriétaire, estimant que ces abus « portent atteinte aux libertés fondamentales et troublent la paix sociale ».

Le mois de décembre est arrivé, et l’excitation des fêtes de fin d’année commence à envahir les foyers.
Les rues s’illuminent, les chants de Noël résonnent, et les maisons se parent de leurs plus beaux atours.
De la gestion des tâches ménagères à la décoration, en passant par la planification des repas, ce sont elles qui s’organisent pour faire de ce moment un succès.
Je dois terminer plusieurs dossiers avant les vacances, mais je dois aussi trouver du temps pour les préparatifs de Noël”, explique-t-elle.
Entre les obligations professionnelles, les tâches ménagères et les préparatifs des fêtes, l’équilibre est parfois difficile à maintenir.

Dans son analyse, la société civile alerte sur l’insuffisance des fonds alloués à trois secteurs essentiels : la santé, l’éducation et l’agriculture.
Santé : des fonds en régressionLe rapport souligne que le budget prévu pour la santé s’élève à 5.923,3 milliards CDF, soit 13,05 % du budget général.
Une régression qui inquiète la société civile, étant donné l’importance cruciale de ce secteur pour le développement.
« Nous avons constaté une régression dans les prévisions budgétaires pour la santé, l’éducation et l’agriculture.
Ce texte a été promulgué le 22 décembre 2024 par le président Félix Tshisekedi et entrera en vigueur le 1er janvier 2025.

Cet appel, adressé à la société congolaise et à la communauté internationale, insiste sur l’urgence d’une mobilisation collective dans un contexte marqué par une crise humanitaire et sécuritaire persistante.
Les violences intercommunautaires dans d’autres régions, notamment à l’Ouest et dans la province de la Tshopo, aggravent encore la situation.
Dans ce contexte, les archevêques et évêques de la CENCO affirment que “la guerre et la diplomatie ont montré leurs limites”.
Pour concrétiser cet appel, la CENCO propose la mise en place d’un secrétariat technique en collaboration avec l’Église du Christ au Congo (ECC).
“Le chantier est immense et les défis nombreux”, admettent les évêques, tout en réaffirmant leur foi en la possibilité d’une paix durable pour la RDC et les pays voisins.

Septembre- JohannesburgFort de sa collaboration avec la galerie MALABO, la foire internationale de Johannesburg- Art Joburg a été un temps fort de l’année 2024 pour l’artiste.
Fin octobre, KinshasaDepuis des mois, l’artiste et la galerie préparaient cette expo inspirée d’un événement sportif qui a marqué l’histoire du pays.
Une vingtaine de tableaux sont ainsi exposés à la galerie et au restaurant 3Z, lieu du vernissage.
Ce fut la première fois que la galerie organisait un vernissage hors de ces murs.
La première rencontre entre la galerie et l’artiste remonte à 2022 lorsque la galerie accepta de présenter une expo collective, ‘’Trois », avec trois artistes dont Patrick Lomaliza.

L’intersyndicale urbaine de Kinshasa a publié un communiqué ce lundi pour informer les agents et fonctionnaires de l’administration publique urbaine qu’aucun sit-in n’est prévu ce mardi 24 décembre 2024 devant l’Hôtel de Ville.
Cette mise au point intervient en réponse à des appels circulant sur les réseaux sociaux, émis par un groupe qualifié de « rebelles » n’appartenant plus à l’effectif urbain.
Selon le communiqué signé par le pasteur David Delord Luyeye Ngongite, président de l’intersyndicale, ces appels à manifester viseraient à déstabiliser l’administration publique pour des « raisons purement politiques ».
Cette initiative, décrite comme une première dans la gestion urbaine, vise à renforcer la paix sociale et garantir un environnement de travail harmonieux.
Le président de l’intersyndicale demande aux agents de ne pas céder à la manipulation et de poursuivre leurs activités professionnelles normalement.