Day: December 23, 2024

Beni, 23 décembre 2024(ACP).– Le faible engouement des clients observé au marché la veille des festivités inquiète les femmes vendeuses de poules rencontrées au marché central de Beni Kilokwa, en province du Nord-Kivu, dans l’Est de la République démocratique du Congo, a constaté l’ACP ce lundi.
« Nombreux d’entre nous avaient déjà constitué de stocks importants en poules pensant que la situation sera la même comme auparavant.
Il est trop difficile de garder ces poules de chair surtout qu’elles sont allergiques à certains aliments au risque de perdre du poids.
Mme Hangi a fait savoir qu’elles sont actuellement soumises aux nombreuses complications en Ouganda et à la frontière de Kasindi, comme par la SCAF et la DGM, puis à la barrière contrairement aux anciens temps.
Dans les anciens temps, les poules de chair étaient bien appréciées et plus achetées à Beni que les races locales avec des effets sur les chiffres d’affaires.

Kikwit, 23 décembre 2024 (ACP).- Un plaidoyer pour la réhabilitation du pont Kwenge, jeté sur la rivière du même nom et la cathédrale de la paroisse Saint Jean/Lusanga, a été lancé par les populations de la province du Kwilu (sud-ouest de la République démocratique du Congo), a-t-on appris des sources locales.
«Ce pont est très important et relie le territoire de Bagata, de Bulungu et la ville de Kikwit, en passant par Djuma, Vanga.
Il a profité de l’opportunité pour lancer un appel aux autorités nationales et aux ressortissants de se mobilier pour sauver ces édifices.
» Notre cris d’alarme est ainsi adressé aux autorités nationales et les cadres ressortissants de se mobiliser pour la réhabilitation de ces édifices d’importance communautaire et culturelle« , a-t-il plaidé.
Pour les services de base, les habitants dépendent de Kikwit, à 45 km de distance.

Kikwit, 23 décembre 2024 (ACP).- Un atelier de validation du plan de travail et budget annuel 2025 (PTBA) du Programme national de développement agricole (PNDA) a été organisé, lundi par le comité de pilotage à Kikwit dans la province du Kwilu (sud-ouest de la République démocratique du Congo), a constaté l’ACP.
«Nous venons de présenter l’état de lieu et le plan du travail pour l’année 2025 ou plusieurs activités sont prévues notamment le recrutement des trois opérateurs financiers et techniques à long terme, l’enregistrement d’au moins 110.000 petits exploitants, recensement des cheptels, vaccination des poules dans les zones du programme, payement de la prime d’assurance, distribution des papiers techniques et l’acquisition des semences aux petits exploitants, construction et réhabilitation et cantonage des infrastructures rurales, et autres », a déclaré Mr Mmbey Jean-de-Dieu, coordonnateur national du programme et d’ajouter : «l’objectif étant d’examiner et adopter le plan de travail, le budget annuel, le rapport des états financiers, c’est quoi a été fait».
20.000 tonnes de maïs sont attendus pour cette récolte expérimentale dans l’ensemble des 4 provinces concernées, notamment, le Kwilu, le Kongo Central, le Kasaï et le Kasaï Central, plus 65 millions de dollars prévus comme budget pour l’année 2025, a-t-on appris.
Plus de 70 participants entre autres les ministres, les inspecteurs et les chefs de division provinciaux et locaux, des ministres concernés, les membres du comité de pilotage national et provincial, les représentants de partenaires et les opérateurs techniques, ont pris part à cet atelier.

Kikwit, 23 décembre 2024 (ACP).- Les femmes fabricantes de la chikwangue par des méthodes manuelles et autres vendeurs des médicaments indigènes de la cité de Muluma, territoire de Masimanimba, dans la province du Kwilu, ont été invités à plus des conditions d’hygiène dans leur entrepreneuriat, a appris l’ACP des sources locales.
«Dans une enquête sur la nutrition menée dans le cadre de lutte contre les « maladies de mains sales », nous avons visité les ateliers de fabrication des chikwangue, ceux de fabrication des médicaments indigènes et fourni des conseils en mettant l’accent sur les pratiques de l’hygiène des extenscils, les mains et les conditions de transports et de conservation des ces produits, pour préserver la santé des consommateurs et lutter contre les maladies des mains sales», a indiqué Martin Mabosama, nutritionniste enquêteur.
Et d’ajouter : » ces femmes fabricants des chikwangue ont émis des craintes de voir les expatriés leur arracher ce marché par les méthodes industrielles, techniques de commercialisation et de conservation des chikwangue avec l’expansion des supers marchés, activité pourtant avec laquelle elles prennent en charge leurs familles».
Pour la plupart, ces femmes se servent des mortiers, pilons, couteaux traditionnel, malaxeurs, bois de moule, l’eau, les feuilles, le fibre et le tamis, comme outils de travail.
D’où la nécessité d’appliquer les règles adéquates d’hygiène et de laisser bouillir longtemps leurs produits pour se rassurer de la cuissons et de la stérilisation.

La direction de l’Olympique de Marseille aurait fixé un montant de transfert à 3 millions d’euros pour laisser filer son défenseur central, selon un article du média français Foot Mercato, publié ce jour.
Une somme bien inférieure à l’estimation de Transfermarkt (5 millions d’euros), ce qui témoigne de la volonté du club de se séparer rapidement du joueur, et qui attend une réaction du capitaine des Léopards.
Selon la même source, plusieurs clubs de Ligue 1 ont déjà manifesté leur intérêt pour le Congolais, à l’image de Montpellier, Rennes et Nantes.
Mais quand Dieu ne décide pas… ce sont les humains.
Mais le plus important, c’est de faire notre boulot pour satisfaire tout le monde.

Antoinette Katshil, vendeuse de tomates, oignons, sel et huile, justifie cette stagnation des prix.
« Nous, nous n’avons pas de problème, mais on nous dit que le taux de dollar est en hausse.
C’est pour cela que nous vendons ainsi, surtout que nous payons cher le transport pour acheminer les produits jusqu’à Likasi », a-t-elle déclaré à 7SUR7.CD.
Par ailleurs, les supermarchés de Likasi affichent une légère diminution des prix sur certains produits, mais la baisse reste marginale.
Les commerçants appellent à des solutions concrètes, tandis que les consommateurs, confrontés à une flambée persistante des prix, espèrent une action renforcée des autorités pour alléger leur quotidien.

À quelques heures du match du dernier tour qualificatif au Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) 2024, qui a vu les Léopards de la RDC concéder un match nul de 1-1 face au Sao du Tchad ce samedi 22 décembre 2024 au stade Alassane Ouattara d’Ebimpé, 12 des 24 joueurs sélectionnés par Otis Ngoma ont été disqualifiés.
La raison ?
Une falsification d’âge mise en évidence par une différence entre les âges indiqués sur leurs passeports et leurs licences de joueur, a indiqué l’un des joueurs concernés qui a préféré rester anonyme.
Cette décision, prise par l’organisateur, constitue un véritable coup de tonnerre pour la RDC, qui se voyait déjà en passe de se qualifier pour la phase finale de la compétition.
Les Léopards se sont retrouvés considérablement diminués pour affronter le Sao du Tchad ce samedi avec seulement deux remplaçants sur le banc de touche.

Les FARDC maintiennent ce lundi 23 décembre leur contrôle sur Ndoluma et Mambasa, dans le territoire de Lubero, malgré les attaques des rebelles du M23.
Toutefois, la situation demeure volatile dans la zone, et le risque de reprise des affrontements reste élevé.
Les FARDC veulent reprendre le contrôle de la localité stratégique d’Alimbongo, perdue il y a une semaine, tandis que les M23 cherchent à progresser vers Mambasa et Ndoluma.
Ce matin, les FARDC et les rebelles du M23 se sont affrontés autour de la localité de Mambasa, située à 60 kilomètres de Lubero-Centre et contrôlée par l’armée.
Les rebelles tentaient d’y déloger les FARDC, qui ont riposté en utilisant des hélicoptères de combats et de l’artillerie lourde.

En vue de s’assurer que la baisse des prix des produits de première nécessité profite au dernier consommateur, le vice-Premier, ministre de l’Economie nationale, Daniel Mukoko Samba, a réuni les membres de l’Association des distributeurs et exploitants des chambres froides.
Dans cette optique, les distributeurs et exploitants des chambres froides demandent l’affichage des prix et la délivrance de factures d’achat conformément à la loi.
Après échanges, nous confirmons que les prix vont baisser parce que c’est nous qui vendons.
Toutes les zones d’ombre ayant été dissipées, nous promettons à notre population que les prix vont changer », a annoncé le président de l’Association des distributeurs et exploitants des chambres froides du Congo.
L’Association des distributeurs et exploitants des chambres froides du Congo compte 250 membres, 538 chambres froides et sert de passerelle entre grossistes et les derniers consommateurs dans la chaîne de distribution des produits surgelés.