Diomi Ndongala souligne l’intangibilité de l’Art. 220 de la Constitution de la RDC

Cette procédure implique souvent l’intervention de plusieurs organes de l’État (par exemple, le Parlement et le peuple par référendum) et exige généralement une majorité qualifiée.
Verrous constitutionnels: certaines dispositions de la Constitution sont considérées comme fondamentales et ne peuvent être modifiées (voir les dispositions de l’art 220 de la Constitution de la RDC).
Le Cas de la République démocratique du Congo”La Constitution de la RDC est, comme nous avons plus haut précisé, un exemple de constitution rigide.
Pour lui, les enjeux de la révision constitutionnelle en RDC sont multiples, mais une révision trop fréquente de la Constitution peut créer une instabilité politique et juridique.
La rigidité d’une Constitution, conclut Diomi, implique la nécessité de trouver un équilibre délicat entre ce qui est possible de réviser et ce qui est intouchable.

Judith Suminwa désamorce la crise à l’ONATRA en garantissant le paiement des salaires et suspend le préavis de grève

Trois Axes Prioritaires pour Sortir de la Crise :Paiement des salaires en souffrance : Le Gouvernement a décidé d’apurer deux mois d’arriérés de salaires.
Cette initiative vise à protéger le patrimoine de l’ONATRA et à garantir sa viabilité à long terme.
Suspension du Préavis de GrèveArmand Osasse, président de l’intersyndicale de l’ONATRA, a salué les efforts du Gouvernement et annoncé la suspension immédiate du préavis de grève.
Il a exprimé sa satisfaction quant à la réactivité des autorités face aux doléances des travailleurs.
“Ces décisions montrent l’engagement du Gouvernement à redresser l’ONATRA et à moderniser ses opérations stratégiques, conformément au Programme d’Actions du Gouvernement”a-t-il déclaré.

Réforme constitutionnelle : l’Udps/Tshisekedi met en place une Commission ad hoc

2024-12-202024-12-202024-12-202024-12-20Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/16-22/udps_siege_241.jpgDans un communiqué parvenu à Mediacongo Press MCP ce vendredi 20 décembre 2024, l’Union pour la démocratie et le progrès social (Udps/Tshisekedi), à travers son Département de la Justice et Droits Humains, a annoncé la mise en place d’une Commission ad hoc en vue d’approfondir la question liée au changement de la Constitution de la République démocratique du Congo (RDC), soulevée par le président Félix Tshisekedi.
Pour l’Udps/Tshisekedi, l’objectif est d’apporter une contribution substantielle au défi qui concerne l’avenir du pays.
Elle précise que les contributions de cette nouvelle Commission ad hoc seront transmises au chef de l’État.
De ce fait, le parti présentiel promet de lancer, dans un futur proche, des consultations à grande échelle pour prendre pleinement en compte les réflexions de la base.
À travers sa Commission ad hoc, l’Udps/Tshisekedi entend préparer, en interne, sa participation à la Commission multidisciplinaire annoncée pour 2025 par le président Tshisekedi.

Tshopo : signature d’un accord de paix par les communautés Mbole-Lengola sous le VPM de l’intérieur

Dans son discours de clôture, le VPM de l’intérieur Jacquemin Shabani Lukoo a félicité toutes les parties pour avoir privilégié la cohabitation fraternelle entre les communautés.
Sous la conduite du vice-premier ministre en charge de l’Intérieur, les deux grands chefs des communautés Mbole et Lengola se sont réconciliés publiquement devant les membres de leurs communautés et des autorités nationales.
Pour favoriser la paix entre les communautés en conflit, un appel à la justice pour les personnes emprisonnées a été sollicité par les communautés Mbole et Lengola, dans l’acte d’engagement qu’elles ont signé, à l’issue du forum de paix, réconciliation et développement de la Tshopo.
Présents, les chefs coutumiers de toutes les communautés en conflit se sont tenus, main dans la main, en signe de réconciliation et d’unité devant le vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur.
De milliers de personnes déplacées continuent à faire face aux intempéries, à la faim et aux mauvaises conditions d’hygiène qui les exposent à diverses maladies.

Guerre à l’Est : le M23 refuse les négociations dans le cadre de Nairobi et exige un dialogue direct avec Kinshasa

Elle a notamment abordé le processus de paix de Nairobi, une initiative régionale visant à apaiser les tensions entre la RDC et le M23, un mouvement rebelle actif dans les provinces orientales.
Le M23, membre de l’Alliance Fleuve Congo (AFC), a réaffirmé son refus de s’engager dans des séminaires ou consultations avec les milices et les forces coalisées du gouvernement de Kinshasa.
Il insiste sur la nécessité d’un dialogue direct, sans intermédiaires, pour résoudre les problèmes fondamentaux à la racine des tensions dans l’est de la RDC.
Dans un communiqué, le M23 a précisé qu’il avait pris des mesures concrètes pour garantir la sécurité des populations civiles dans les zones sous son contrôle.
Le mouvement annonce ainsi avoir libéré plusieurs localités, dont Mbingi, dans le territoire de Lubero, rétablissant la paix dans ces régions, qu’il considère désormais pacifiées.

Sud-Kivu : interpellation de 17 migrants irréguliers chinois dans une mine d’or

En séjour irrégulier dans la province du Sud-Kivu, dix-sept (17) migrants chinois interpelés ont été présentés ce vendredi 20 décembre 2024 à la presse de Bukavu, chef-lieu de la province du Sud-Kivu.
D’après Bernard Muhindo, Ministre provincial des Finances, ces migrants ont été repérés dans les mines, dans le territoire de Walungu.
Ce dernier déplore que ce sont ces migrants qui profitent des dividendes des mines congolaises alors que le peuple congolais, lui, demeure dans un chômage indescriptible.
Le gouvernement provincial annonce des enquêtes pour sanctionner les auteurs et responsables de ce désordre dans le secteur minier en province.
Il avait déjà procédé par la suspension des activités minières dans cette province après avoir donné des règles étatiques aux opérateurs miniers oeuvrant dans cette partie du pays.

RDC : Le CNJ annonce que la jeunesse est favorable à l’avènement de la 4ᵉ République et propose la suppression des institutions budgétivores

La rencontre patriotique des jeunes, initiée par le Conseil National de la Jeunesse (CNJ), s’est clôturée le 19 décembre 2024 à Kinshasa.
Durant trois jours, les jeunes ont réfléchi et échangé autour de la question centrale : “Que pense la jeunesse pour la construction d’une 4ᵉ République ?
Au contraire, elle est l’âme, les tempéraments, l’agir et les habitudes d’un peuple.
Elle doit s’adapter aux besoins et aux réalités de la société », rapporte la déclaration lue par le président du Conseil national de la jeunesse, William Mukambila.
« Oui, la jeunesse congolaise est fondamentalement d’accord pour la construction d’une 4ᵉ République qui passe non pas par une simple révision de la constitution, mais plutôt par un véritable changement de cette dernière.

L’attrait du tatouage chez les jeunes et les risques pour la santé ?

La pratique du tatouage a gagné en popularité en RDC depuis plusieurs années, particulièrement auprès des adolescents et des jeunes adultes.
Les jeunes des grandes villes arborent d’ailleurs souvent pour des tatouage permanent, pourtant le tatouage demeure encore aujourd’hui pour certaines familles et communautés le signe d’une déviance chez les jeunes.
De plus, il semble encore associé à certains groupes de personnes, tels les malfaiteurs, prostituées, les prisonniers ou les utilisateurs de drogues.
Mais pourquoi les jeunes Congolais préfèrent se tatoués ?
et quel risque à le tatouage pour la santé ?

Tenue d’une réunion basée sur la nouvelle loi de la presse à Lusambo

Lusambo, 20 décembre 2024( ACP).- La nouvelle loi de la presse a été au centre de la réunion tenue par la cheffe de division provinciale de la Communication et médias, à Lusambo, chef-lieu du Sankuru, au centre de la République démocratique du Congo, a constaté l’ACP vendredi.
« Cette rencontre est ainsi organisée en vue de sensibiliser les professionnels de médias sur la nouvelle loi de la presse afin d’obtenir une information de qualité,, objective et inclusive.
Et d’ajouter : « La division provinciale de communication et médias a mis tout en œuvre pour arriver à assurer la mise à niveau des journalistes, surtout en cette période où le domaine est fortement révolutionné par les nouvelles technologies de l’information et de la communication ».
Véronique Kusuba a, par la même occasion, appelé les professionnels de médias dans leur ensemble à se prêter à cette série de renforcement des capacités afin de profiter des nouvelles matières qui seront mises à leur portée.
Elle a, par ailleurs, promis la tenue d’une réunion dans les jours à venir basée sur les différentes thématiques visant le renforcement des capacités des professionnels de médias en général, signale-t-on.

Accepter les Notifications pour ne pas rater les news de la RDC OK No