« Conseil de Sécurité de l’ONU : la RDC lance sa candidature pour représenter l’Afrique en 2026-2027 »

C’est ce que confirment à ACTUALITÉ.CD des témoins indignés par cette montée de criminalité dans ce quartier jadis réputé calme.
C’était une famille visitée par des malfrats qui ont cassé la maison, volé des biens et violé des filles.
D’autres incriminent une unité dénommée «Shikata», aidée par des jeunes du quartier, dont un garçon et une fille sont arrêtés par la police.
Le quartier Kabila, comme tous les autres de la commune de Kisenso, traversés par la route de la paix à peine asphaltée, devient surpeuplé en raison également de la stabilité de l’électricité.
Des jeunes délinquants quittent des quartiers éloignés pour voler, extorquer voire commettre des meurtres dans le quartier Kabila.

Kindu, 07 janvier 2025 (ACP).- Les parties prenantes impliquées dans la conservation autour du Parc National de la Lomami (PNL), dans la province du Maniema, centre-Est de la République démocratique du Congo), ont salué les mécanismes de gestion des plaintes (MGP) de cette aire protégée, a appris l’ACP mardi dans un entretien.
« Cette mise en place de mécanismes de gestion des plaintes qui est comme mode de résolution pacifique des conflits a pour principal objectif de régler les différents litiges liés à la conservation qui pourra surgir entre les parties prenantes », a-t-il dit.
Pour le directeur en charge des Droits humains et des MGP à l’ICCN/Maniema, cette mise en place vient renforcer les liens de collaboration entre les Communautés vivantes autour du PNL, les gestionnaires de patrimoine mondial.
Il a, à cette occasion, salué l’engagement de l’ICCN et ses partenaires pour cette initiative qui pourra aider à toutes les Communautés riveraines de bien se comporter.
Il a, en outre, rassuré son engagement ferme sur cette question de développement en faveur de cette initiative capitale qui vise à réduire sensiblement les conflits entre les gestionnaires du Parc National de la Lomami et la population riveraine.

Kinshasa, 11 décembre 2024 (ACP).- Le prix d’une botte de deux Kilogrammes de fougères « Misili », en provenance de Kasangulu, dans la province du Kongo Central, (Ouest de la République démocratique du Congo), est resté stable soit 2.000 FC au marché Matadi Kibala (Ouest de Kinshasa), a appris mercredi l’ACP dans un entretien.
« Une botte de deux kg de fougères « Misili » en provenance de Kasangulu s’est vendue toujours à 2.000 FC soit 0,7 USD au marché de Matadi Kibala, au cours de la période allant du 9 novembre au 11 décembre », a déclaré Josiane Diakese vendeuse de légumes au marché Matadi Kibala.
Cette stabilité du prix des légumes de grande consommation, a-t-elle dit, est attribuée au caractère saisonnier et à la stabilité du franc congolais face au dollar américain.
Il s’agit notamment des feuilles de haricot qui se vendent actuellement à 1.000 FC soit 0,35 USD, une botte de feuilles de Kikalakasa en provenance du village de Mafoufou ; toujours dans la contrée de Kimuenza, une botte de feuilles d’aubergines, communément appelées «Bilolo», se vend à 2.000 FC moins d’un(1) dollar ; une botte des feuilles de basiliques, communément appelées «Lumba-Lumba», en provenance du site de Kinkole, revient aujourd’hui à 500FC, soit 0,17dollar américainRareté des certains légumesPar contre, d’autres légumes de grande consommation sont en hausse au marché de Matadi Kibala à cause des caractéristiques liées à la saison de production et de leur rareté sur le marché.
Mme Josiane Diakese a expliqué qu’une botte d’oseilles (Ngayi-ngayi) se vend à 2.000 FC, soit 0,71 USD, alors qu’il coûtait 1000FC ; une botte de feuilles de manioc, communément appelée ’’pondu caoutchouc’’, en provenance de la Cité de Kimuenza, dans la commune de Mont Ngafula, qui se négociait à 12.000FC, revient aujourd’hui à 18.000 FC, soit 6,42 USD ; une botte de feuilles de manioc, communément appelées « Pondu Kongo », qui se négociait à 1000FC, revient aujourd’hui à 1.500FC, soit 0,53 USD, tandis que les feuilles de gombo, en provenance du site de Kimwenza, dans la commune de Mont–Ngafula, se négociaient à 3500FC, soit 1,25 USD alors qu’elles se vendaient à 2.000FC.