Mambasa : trois civils tués dans des altercations entre deux groupes armés

Communiqué officielSon Excellence Monsieur le Gouverneur de la Ville de Kinshasa Daniel Bumba Lubaki, rappelle son attachement à la fois à la liberté de culte et à l’ordre public dont les nuisances sonores sont une atteinte.
Il exhorte les bourgmestres à faire respecter l’ordre public dans le respect de la liberté de religion.
Il encourage aussi les confessions religieuses à exercer leur foi dans le strict respect de l’ordre public afin de préserver la quiétude des Kinois, suivant les dispositions de l’Edit n•005 du 09/12/2012 portant Réglementation des nuisances sonores dans la Ville de Kinshasa.
Cependant, il met en garde les bourgmestres qui, sous prétexte de lutter contre les nuisances sonores, se livrent à des tracasseries administratives contre les confessions religieuses qui célèbrent le nouvel an.
Fait à Kinshasa, le 31 décembre 2024Cellule de Communication

Dans ce contexte, le reboisement urbain n’est plus seulement une option, mais une nécessité impérieuse pour garantir une meilleure qualité de vie à ses habitants.
Pourquoi le reboisement est crucial à Kinshasa ?
Qualité de l’air dégradée : La pollution générée par les véhicules et les industries s’aggrave, faute d’arbres capables d’absorber les polluants atmosphériques.
Un effort partagé : L’État et les citoyensSi les initiatives gouvernementales sont nécessaires pour reboiser les espaces publics comme les avenues, les ronds-points ou les parcs, cela ne suffit pas.
Vers une cohabitation harmonieuse avec la natureReboiser Kinshasa, c’est renouer avec un équilibre essentiel entre l’urbanisation et la nature.

Le président du groupe parlementaire d’Ensemble pour la République, Christian Mwando a qualifié, lundi 9 décembre, la révision constitutionnelle d’un débat inopportun.
Il a levé cette option lors de son intervention au Palais du peuple, à Kinshasa.
Christian Mwando a également soutenu qu’aucun article de la Constitution n’empêche le président de la République et sa majorité de résoudre les problèmes graves et urgent auxquels notre pays est confronté.
La révision constitutionnelle, pas un tabouPour sa part, le président de l’Assemblée nationale, Vital Kamerhe a indiqué que le débat sur la révision de la Constitution n’est pas un tabou d’autant plus qu’elle édictée par son article 218.
Il l’a affirmé le même lundi à la sortie de la réunion interinstitutionnelle avec le chef de l’état sur la préparation du congrès de demain mercredi portant sur l’audition du discours sur l’état de la nation.