Tshopo : manifestation des étudiants de l’IFA Yangambi contre la grève des professeurs

Trois rebelles sud-soudanais du Front du salut national (NASFA) ont été présentés lundi 23 décembre au gouverneur du Haut-Uele au camp militaire d’Aungba, dans la cité minière de Durba (territoire de Watsa).
Ces rebelles ont été arrêtés, selon l’armée, le 18 décembre courant dans les périphéries du site des déplacés de Meri, au village Otuwa, à 20 kilomètres de la cité frontalière d’Aba, dans le territoire de Faradje.
Ces assaillants ont été appréhendés avec une arme de guerre du type AK 47 lors d’une tentative d’incursion dans ce camp des déplacés, précisent les forces armées congolaises.
Le gouverneur a salué l’arrestation de ces éléments soulignant la détermination de la République Démocratique du Congo à traquer tous ceux qui menacent la sécurité de son territoire et même des pays voisins.
Jean Bakomiti a cependant indiqué que les procédures judiciaires en charge de ces fugitifs sont en cours en attendant leur transfèrement à Kinshasa, dans le respect des lois qui régissent ce secteur.

En réalité, le général Chiko Tshitambwe et ses hommes se trouvent sur les lignes de front dans le territoire de Lubero pour stopper l’avancée des rebelles et les anéantir.
La manipulation de l’opinion publique par des rumeurs et la désinformation joue un rôle crucial dans la guerre psychologique menée par le M23-RDF.
En semant le doute et en créant des tensions entre les civils et les forces loyalistes, les rebelles cherchent à affaiblir le moral et la cohésion de l’armée congolaise.
Appel à l’Unité et à la VigilanceFace à cette situation critique, il est essentiel que la population de Butembo et des environs reste vigilante et unie contre les tentatives de manipulation.
Les autorités locales et les leaders communautaires doivent travailler ensemble pour diffuser des informations vérifiées et encourager la coopération avec les forces de sécurité.

La société civile aurait été alertée que de fortes pressions seraient ourdies à Kinshasa pour venir récupérer cette cargaison vers une destination inconnue.
Les forces vives du Sud-Kivu s’y opposent catégoriquement, affirme Nene Bintu, présidente du bureau de coordination de la société civile de cette province.
« Nous avons appris qu’un jet privé était en préparation à Kinshasa pour venir récupérer le colis et les trois Chinois.
Reçus par le gouverneur, les membres de la société civile ont exigé des assurances quant à leur crainte de voir se répéter le même scenario.
», s’interroge cette activiste de la société civile du Sud-Kivu.