RDC : l’UNESCO ouvre un atelier sur le plaidoyer et l’élaboration des stratégies de ressources éducatives libres

En marge de la réunion multilatérale sur le Corridor de Lobito à Benguela, Joe Biden et Félix Tshisekedi ont discuté du partenariat économique ainsi que des relations bilatérales entre les États-Unis et la RDC.
« Les deux dirigeants ont affirmé la nécessité de veiller à ce que les conditions soient réunies pour attirer les investissements du secteur privé en RDC, notamment la bonne gouvernance, la transparence et une RDC souveraine capable d’exploiter ses immenses richesses au profit de l’ensemble de sa population », a annoncé la Maison-Blanche.
Le soutien américain à la RDC est réaffirmé dans le contexte de la redynamisation du projet du Corridor de Lobito.
Dans sa déclaration, Félix Tshisekedi a fait remarquer que « ce corridor permettra de valoriser localement le cuivre et le cobalt, essentiels à la transition énergétique mondiale, tout en stimulant l’industrialisation et la compétitivité de la RDC ».
Pour le chef de l’État congolais, « il est impératif que les richesses de notre sol contribuent directement au bien-être de nos populations ».

«Le président a nommé le juge Nawaf Salam pour lui confier la formation du gouvernement, sachant qu’il se trouve actuellement à l’étranger.Il est prévu qu’il revienne demain», a déclaré Antoine Chouqeir, directeur général de la présidence de la République.
Nawaf Salam, diplomate, juge et président de la Cour internationale de justice (CIJ) a été nommé le nouveau premier ministre du Liban, une semaine après l’élection de son nouveau président Joseph Aoun.
Un premier ministre musulman sunniteNajib Mikati figurait avec Nawaf Salam, diplomate, juge et président de la Cour internationale de justice (CIJ), parmi les noms évoqués pour diriger le prochain gouvernement.
En vertu du partage du pouvoir entre les communautés religieuses au Liban, le président de la République est chrétien maronite, le premier ministre musulman sunnite et le président du Parlement musulman chiite.
Conformément à la Constitution, le président reçoit les représentants de toutes les formations parlementaires ainsi que les élus indépendants.

Insistant sur l’aspiration des populations à vivre en paix et en sécurité, il a exhorté les dirigeants politiques à œuvrer pour une stabilité durable.
Conscient des limites du rôle de l’Église dans la résolution des différends politiques, il a rappelé sa mission prophétique consistant à interpeller et à semer des graines d’espoir.
Fidèle à ses engagements pour la souveraineté et l’intégrité territoriale de la RDC, il a également alerté sur les risques de balkanisation du pays, tout en plaidant pour des solutions inclusives et pacifiques.
Le cardinal Ambongo a souligné l’importance de ces rassemblements pour renforcer l’unité et la mission pastorale de l’Église en Afrique.
Préparant la tenue de l’assemblée plénière de l’année prochaine à Kigali, cette rencontre a témoigné de l’engagement des évêques africains à collaborer pour promouvoir la justice, la paix et le développement intégral sur le continent.