«J’estime que la nouvelle administration américaine poursuit une politique de nationalisme économique agressif.
«Nous nous trouvions en désaccord sur la meilleure voie à suivre pour le Canada, le 25% reste un grand défi à venir pour notre pays», a-t-elle ajouté.
«Pour être efficace, un ministre doit parler au nom du premier ministre et avec toute sa confiance (…).
De 2015 à 2017, Freeland a été ministre du Commerce international du Canada et a supervisé la négociation réussie de l’accord de libre-échange entre le Canada et l’Union européenne, le CETA.
Elle a ensuite été ministre des Affaires étrangères de 2017 à 2019, avant de devenir vice-première ministre et ministre des Finances.
Author(s): acp.cd
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