Fêtes de fin d’année : comment se déroulent les préparatifs ?

La police nationale congolaise a affirmé, mardi 24 décembre, avoir interpellé plus de 1 800 présumés bandits communément appelés Kuluna, en 4 jours, dans le cadre de l’opération dénommée « Ndobo », à Kinshasa.
Alors que 29 autres par le TGI Kalamu et 50 encore par le TGI Gombe au Camp Luka.
C’est ce qui justifie une diminution sensible du phénomène Kuluna sur terrain à la satisfaction de la population sur l’opération Ndobo.
Quant à ce qui concerne les embouteillages, la police ville de Kinshasa fait savoir que plus de 450 véhicules en mauvais état ont été saisis à cause de leur mauvais état.
Pour le commissaire divisionnaire adjoint Blaise Kilimba limba, les Kinoises et Kinois fêteront dans la paix et la tranquillité publique contrairement aux années précédentes.

L’organisation des états généraux de la jeunesse congolaise est la recommandation phare issue d’un atelier d’inception et de renforcement des capacités des acteurs clés, notamment des jeunes et des femmes venus de toutes les provinces de la RDC.
“Cette démarche marque un tournant dans la mobilisation des jeunes et des femmes.
Les participants à cet atelier ont insisté sur leur volonté de faire de la RDC un modèle de gouvernance participative.
Ils se sont engagés à travailler main dans la main, au-delà des divisions politiques et provinciales, pour garantir que leurs aspirations se traduisent en actions concrètes.
Il aspire à renforcer l’implication proactive des jeunes dans les espaces décisionnels et les processus de paix.

Le 6 décembre dernier, le Leadership de la Femme des Médias (LFM) a apporté son aide à une cinquantaine de femmes, principalement des victimes de violences sexuelles, réfugiées sur le site de déplacés de Mugunga à Goma.
Les femmes et les filles sont les premières victimes de ces atrocités, perpétrées souvent par des groupes armés.
Nous appelons à une cessation immédiate des hostilités et à une mobilisation de tous pour mettre fin à ce fléau. ”
À cet effet, le LFM a lancé un appel urgent à la communauté internationale pour qu’elle se mobilise en faveur des femmes victimes de violences sexuelles en RDC. ”
Il est essentiel de renforcer les systèmes de protection, de poursuivre les auteurs de ces crimes et de fournir aux victimes les soins et le soutien dont elles ont besoin “, a renchéri Grâce Shako.