Législatives à Masi-Manimba : les électeurs choisissent leurs représentants ce dimanche

Les FARDC maintiennent ce lundi 23 décembre leur contrôle sur Ndoluma et Mambasa, dans le territoire de Lubero, malgré les attaques des rebelles du M23.
Toutefois, la situation demeure volatile dans la zone, et le risque de reprise des affrontements reste élevé.
Les FARDC veulent reprendre le contrôle de la localité stratégique d’Alimbongo, perdue il y a une semaine, tandis que les M23 cherchent à progresser vers Mambasa et Ndoluma.
Ce matin, les FARDC et les rebelles du M23 se sont affrontés autour de la localité de Mambasa, située à 60 kilomètres de Lubero-Centre et contrôlée par l’armée.
Les rebelles tentaient d’y déloger les FARDC, qui ont riposté en utilisant des hélicoptères de combats et de l’artillerie lourde.

Option levée lors de la 27ᵉ réunion du Conseil des ministres de ce vendredi 20 décembre 2024, présidée par le Chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Dans son compte rendu, le ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya, parle de la position du Gouvernement congolais, qui n’approuve pas la proposition rwandaise.
Ferme, la Republique démocratique du Congo campe sur sa position et pose de bases qui justifient l’option prise.
Félix Antoine Tshisekedi a invité tous les membres du Gouvernement à renforcer leurs actions sur terrain, à intensifier la mobilisation des partenaires stratégiques et à garantir un soutien accru aux FARDC et à la population affectée.
La situation dans l’Est de la RDC reste tendue, avec des affrontements qui se poursuivent entre l’Armée régulière et les forces négatives, notamment le M23 soutenu par le Rwanda.

En effet, d’aucuns pensent que dès que Constant Mutamba a été nommé ministre, le regroupement politique qu’il représente au gouvernement a d’office cessé d’appartenir à l’opposition.
Ceux qui sont de cet avis soutiennent que le sexe politique de NOGEC /A est la majorité présidentielle.
C’est le cas du juriste et ancien magistrat Frédéric Bola, qui attire l’attention du ministre de la Justice sur la loi portant statut de l’opposition politique en République démocratique du Congo.
« Sait-il, en l’espèce, que conformément aux articles 2 et 4 de la Loi organique n° 7/008 du 4.12.2007 portant statut de l’opposition politique, le parti politique NOGEC ne fait nullement partie de l’opposition politique ?
Contacté, un responsable de NOGEC/A promet que la réponse à cette préoccupation sera donnée au meeting du 14 décembre.