“La défense d’une nation est le premier facteur du développement” (Colonel Nenette Mukembe)

Or, il ne s’agit pas d’un congrès portant sur une matière complexe, mais simplement de remplacer des juges à la Cour Constitutionnelle », a expliqué Vital Kamerhe.
Le président de l’Assemblée nationale a mis en avant la difficulté actuelle de la Cour Constitutionnelle à remplir ses fonctions, faute de membres en nombre suffisant.
Exceptionnellement pour la première composition de la Cour, les durées de mandat avaient été différenciées – trois, six et neuf ans – à travers un processus de tirage au sort, afin d’éviter une vacance complète à la Cour et de préserver la continuité de la jurisprudence.
La Cour Constitutionnelle, ci-après la Cour, comprend neuf membres nommés par le Président de la République, dont trois sur sa propre initiative, trois désignés par le Parlement réuni en Congrès et trois autres par le Conseil Supérieur de la Magistrature.
Lire aussi : Renouvellement à la Cour constitutionnelle de la RDC : Trois juges s’apprêtent à quitter leurs postesClément Muamba

Renforcement de la démocratie et améliorer la décentralisationLe renforcement de la démocratie vise l’amélioration des modes d’élection du Président de la République (2) et le renforcement de la décentralisation (1).
Ces entités territoriales décentralisées sont la ville, la commune, le secteur et la chefferie.
Avant la révision de 2011, la même disposition 71 prévoyait que « Le Président de la République est élu à la majorité absolue des suffrages exprimés.
Avec le recul, il s’observe que plusieurs autres pays tels que le Burkina-Faso, le Mali, et le Maroc, appliquent le modèle de représentation multi-acteur du CSM.
De même, la suppression du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication entraînera la suppression de l’article 212 de la Constitution.

Kinshasa, 3 janvier 2025 (ACP).- Les orphelins des fonctionnaires décédés, ayant presté dans le Sud-Ubangi, dans le nord-ouest de la République démocratique du Congo, ont sollicité une aide humanitaire aux autorités compétentes, dans un entretien vendredi à Kinshasa, avec les représentants de ces familles.
« Le combat de Jean Pierre Timbo, un infirmier chirurgien, pour des conditions de travail dignes et pour le paiement de ses salaires impayés a pris une tournure tragique.
De son côté, Michael Lembunzu, fils du regretté infirmier chirurgien Timbo et représentant des orphelins des fonctionnaires de l’État décédés à Gemena, a plaidé auprès des autorités compétentes pour la justice en la mémoire de leur père.
Cette situation a suscité des débats sur la reconnaissance des droits des prestataires des soins en RDC.
Appel à la correction des injustices socialesM. Sanguma a, en outre, appelé les autorités compétentes à corriger les injustices sociales dont sont victimes les orphelins des fonctionnaires, à l’occurrence ceux de M. Timbo.