Infrastructures : l’inauguration de Kinshasa Arena prévue pour septembre 2025

2024-12-312024-12-312024-12-312024-12-31Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/30-31/artiste_zik_seigne.jpgDans son rôle de veiller à la qualité des productions médiatiques éducatives et respectueuses des valeurs humaines notamment la dignité de la femme ainsi que de la jeunesse congolaise.
Le conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication interdit la diffusion de la chanson ” Misu kaka likolo na cadre ya sentiment” devenue virale sur les réseaux sociaux, une production de l’artiste Zik Seigne.
C’est à travers un communiqué rendu public ce 30 décembre 2024 que le Csac a officiellement interdit la diffusion de la chanson obscène sur tous les médias et réseaux sociaux opérant en RDC.
Selon le bureau du Csac, cette décision vise à protéger le public, notamment les jeunes, des contenus nuisibles véhiculant des messages immoraux.

Le président Tshisekedi a d’ailleurs salué ces recommandations en affirmant qu’elles sont de nature à induire des réformes structurelles profondes visant à améliorer de manière sensible l’ensemble du système judiciaire de la République démocratique du Congo.
Ces syndicats ont même déposé une plainte contre le rapporteur général de ces états généraux de la Justice, en la personne de Me Aimé Kilolo.
Il a, à la place, préféré réaffirmer sa détermination à bâtir un véritable État de droit.
« L’un des leviers essentiels pour assurer efficacement la sécurité des personnes et de leurs biens, tout en protégeant les investissements et en favorisant la croissance économique est la justice.
Parmi les recommandations contestées par les magistrats, il y a notamment le remplacement du Conseil supérieur de la magistrature par le Conseil supérieur de la justice, en plaçant les magistrats sous l’autorité directe du président de la République.

Il a dénoncé la corruption comme un frein majeur au renforcement des Forces armées de la RDC (FARDC) dans leur lutte contre les groupes armés, notamment le M23.
« Si l’on cesse de voler l’argent de l’État, on pourra renforcer les FARDC et chasser le M23 », a déclaré Martin Fayulu, exhortant ainsi les Congolais à combattre la corruption qui, selon lui, prive l’armée nationale des ressources nécessaires pour remplir efficacement ses missions.
Le message de Fayulu s’accompagne d’une référence à une vidéo de la journaliste gabonaise Modeste Okome, dont il invite ses compatriotes à « intérioriser le message ».
Le groupe armé M23, actif principalement dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, continue de menacer la stabilité régionale malgré les efforts diplomatiques et militaires déployés pour mettre fin à ses incursions.
Pour Fayulu, la lutte contre ce fléau apparaît comme une condition sine qua non pour restaurer la souveraineté du pays et assurer la protection des populations victimes des violences à répétition dans l’Est.