Sud-Kivu : un présumé voleur meurt électrocuté dans un enclos d’une habitation à Bukavu

Goma, 18 janvier 2025 (ACP).- L’état d’avancement de la construction du collecteur principal des eaux du centre-ville de Goma vers le lac Kivu, a été l’objet de l’inspection samedi du gouverneur de province, au chantier dans cette ville du Nord-Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo.
« Ces travaux d’amélioration du collecteur des eaux, de 1,5m de largeur, et même dimension de hauteur, vont durer six mois », a indiqué l’Ir.
Il a, à cette occasion, expliqué à l’autorité provinciale, le déroulement des travaux, étape par étape.
Il a profité de l’occasion pour présenter à la population, les ambitions du Président de la République et Chef de l’État, par rapport à la guerre et au bien-être du peuple congolais.
Toutes ces eaux sont déversées jusque dans le lac Kivu.

2024-12-292024-12-292024-12-292024-12-29Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/23-29/felix_tshisekedi_favorable_a_la_construction_de_la_route_tshikapa_kandjaji_pour_ouvrir_la_province_a_l_angola.jpgLe chef de l’État, Félix Tshisekedi, se dit favorable à la construction de la route Tshikapa – Kandjaji pour ouvrir la province à l’Angola.
Cependant, Félix Tshisekedi a indiqué qu’il faudra des préalables et des stratégies, avant la construction de cette route pour aider la population de ce coin de la République.
D’après lui, si l’économie de la province est au rabais, la route sera un avantage pour les angolais qui vont tous les jours, exporter des produits vers la RDC.
« Je vous encourage d’entreprendre déjà des activités agricoles et autres pour renforcer notre économie, de sorte que la route vous soit favorable.
Au cas contraire, la route ne sera qu’un avantage pour les angolais », a indiqué le chef de l’État.

À l’occasion, Lucien Kimuni, docteur en sciences agronomiques, a parlé de la sécurité alimentaire dans le Haut-Katanga.
“En 2019, après la tenue de la table ronde, le gouvernement provincial du Haut-Katanga avait initié un programme agricole qui donnait déjà ses fruits.
En 2019, le niveau de la production locale s’élevait à 200.000 tonnes de maïs, et aujourd’hui, nous sommes à 317.000 tonnes de maïs.
À ces jours, poursuit-il, “ Nous avons besoin de 960.000 tonnes de maïs pour couvrir les besoins de la province.
Face à ces écarts ou encore des besoins, ce scientifique intervenant au symposium sur des outils de gestion à apporter pour la résolution des problèmes socioéconomiques du Haut-Katanga, propose notamment la diversification des cultures.